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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 08:25
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17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 08:23
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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 08:16
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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 18:12
Jadis lors des grandes recherches généalogies des familles nobles, un exemplaire de chaque arrêt était envoyé à Paris !
Or, lors de la révolution, une affiche de 1792 annonce :
Département de Paris. Brulement des titres généalogiques du cabinet des ordres en exécution du décret du 12 mai 1792, sanctionné le 16 du même mois.
Le public est averti que mardi prochain 19 juin, dans la place Vendôme, heure de deux heures, il sera brûlé environ six cents volumes, provenant de la partie des papiers et titres généalogiques du cabinet des ordres, qui a pu être examinée jusqu'à ce jour; savoir, de la recherche de la Noblesse, dans les ci-devant Généralités et Provinces d'Auvergne, Bourges, Bourgogne, Bretagne, Caen, Champagne, Dauphiné, Guyenne, Languedoc, Limousin, Lyonnais, Normandie, Orléannois, Paris, Picardie, Poitou, Provence et Touraine, en 1463, 1666 et années suivantes: 292 volumes ; et des mémoires et preuves de Noblesse :  300 volumes.

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14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 06:00

Musée Eugène GOUÉDARD

18, rue Jean-Baptiste Illio

Ploeuc-sur-Lié

 

 

Objets familiers de la ferme et machines agricoles des Côtes d'Armor de 1900 à nos jours


Le 1er local où l'on peut voir les objets familiers de la ferme, de plus petite taille, utilisés pour les travaux d'intérieur de la maison ou pour les travaux des champs …

Le 2ème local où se trouvent les machines agricoles de plus grande taille …

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12 décembre 2008 5 12 /12 /décembre /2008 06:00
Histoire de la rédaction de la Déclaration universelle des droits de l'homme

L'année 2008 marque le 60e Anniversaire de la Déclaration des droits de l'homme. A cette occasion, le Secrétaire général a lancé une campagne d’une année au cours de laquelle toutes les entités du système des Nations Unies prendront part à des activités sur le thème « Dignité et justice pour tous ».

La DUDH : la première affirmation mondiale de la dignité et de l’égalité inhérentes de tous les êtres humains

Au cours de l’histoire, les conflits, qu’il s’agisse de guerres ou de soulèvements populaires, ont souvent été une réaction à des traitements inhumains et à l’injustice. La Déclaration anglaise des droits de 1689, rédigée à la suite des guerres civiles survenues dans le pays, a été le résultat de l’aspiration du peuple à la démocratie. Un siècle plus tard exactement, la révolution française donna lieu à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen qui proclamait l’égalité universelle. Mais le Cylindre de Cyrus, rédigé en 539 avant Jésus-Christ B.C. par Cyrus le Grand de l’Empire achéménide de Perse (ancien Iran) après sa conquête de Babylone, est souvent considéré comme le premier document des droits de l’homme. Quant au Pacte des vertueux (Hilf-al-fudul) conclus entre tribus arabes vers 590 avant Jésus-Christ, il est considéré comme un des premières alliances pour les droits de l’homme.

Après la Deuxième Guerre mondiale et la création de l’Organisation des Nations Unies, la  communauté internationale jura de ne plus jamais laisser se produire des atrocités comme celles commises pendant ce conflit.  Les dirigeants du monde entier décidèrent de renforcer la Charte des Nations Unies par une feuille de route garantissant les droits de chaque personne, en tout lieu et en tout temps.

Le document qu’ils examinèrent et qui devait devenir la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH), fit l’objet de la première session de l’Assemblée générale en 1946.  L’Assemblée examina le projet de Déclaration sur les libertés et les droits fondamentaux et le transmit au Conseil économique et social pour qu’il « le soumette à l’examen de la Commission des droits de l’homme….afin qu’elle puisse préparer une charte internationale des droits ».   A sa première session  au début de 1947,  la Commission autorisa ses membres à formuler ce qu’elle qualifia de « projet préliminaire de Charte internationale des droits de l’homme ». Cette tâche fut ultérieurement confiée officiellement à un comité de rédaction composé de membres de la Commission en provenance de huit pays, sélectionnés  en fonction de critères de répartition géographique.

La Déclaration universelle des droits de l’homme:
fondement du droit international relatif aux droits de l’homme

La Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH) est généralement reconnue comme étant le fondement du droit international relatif aux droits de l’homme. Adoptée il y a près de 60 ans, la DUDH a inspiré un corpus abondant de traités internationaux légalement contraignants relatifs aux droits de l’homme et le développement de ces droits à l’échelle internationale au cours des six dernières décennies, et elle continue d’être, pour chacun d’entre nous, une source d’inspiration, que ce soit en période de conflits, dans les sociétés soumises à la répression, pour redresser les injustices, et pour nous aider dans les efforts que nous déployons pour parvenir à l’exercice universel des droits de l’homme.

Elle est la première reconnaissance universelle du fait que les libertés et les droits fondamentaux sont inhérents à tout être humain, qu’ils sont inaliénables et s’appliquent également à tous, que nous sommes tous nés libres et égaux en dignité et en droits. Quels que soient notre nationalité, notre lieu de résidence, notre sexe, notre origine nationale ou ethnique, notre couleur,  notre religion, notre langue ou tout autre situation, le 10 décembre 1948, la communauté internationale s’est engagée à défendre la dignité et la justice pour chacun d’entre nous.
Le fondement de notre avenir commun

Au fil des années, cet engagement est devenu loi, que ce soit sous la forme de traités, de droit international coutumier, de principes généraux, d’accords régionaux et de législation nationale, grâce auxquels les droits de l’homme peuvent être exprimés et garantis. La DUDH a effectivement inspiré plus de 80 déclarations et traités internationaux relatifs aux droits de l’homme international, un grand nombre de conventions régionales sur les droits de l’homme, des projets de loi nationaux sur les droits de l’homme, et des dispositions constitutionnelles, ce qui constitue un système global juridiquement contraignant pour la promotion et la protection des droits de l’homme.

Sur la base des réalisations de la DUDH, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et ses deux Protocoles facultatifs, et le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels sont entrés en vigueur en 1976. Ces deux Pactes ont développé nombre d’articles enchâssés dans la DUDH les rendant effectivement contraignants pour les Etats qui les ont ratifiés. Ils définissent des droits ordinaires tels que le droit à la vie, l’égalité devant la loi, la liberté d’expression, les droits au travail, à la sécurité sociale et à l’éducation. Avec la DUDH, ces Pactes constituent la Charte internationale des droits de l'homme.

Au fil du temps, les traités internationaux relatifs aux droits de l’homme se sont concentrés et spécialisés de plus en plus dans les problèmes à traiter ainsi que sur les groupes sociaux qui ont besoin de leur protection. La législation relative aux droits de l’homme continue de croître et de développer plus avant les libertés et les droits fondamentaux qui figurent dans la Charte internationale des droits de l'homme, examinant notamment les droits et les préoccupations portant sur la discrimination raciale, la torture, les disparitions forcées, les personnes handicapées et les droits des femmes, enfants , migrants, minorités et peuples autochtones.
Valeurs universelles

Les principes de base des droits de l’homme énoncés pour la première fois dans la DUDH – universalité, interdépendance et indivisibilité, égalité et non-discrimination – et le fait que les droits de l’homme s’accompagnent de droits et d’obligations de la part des responsables et des détenteurs de ces droits, ont été réaffirmés dans de nombreuses conventions, déclarations et résolutions internationales relatives aux droits de l’homme. Aujourd’hui, tous les Etats Membres de l’Organisation des Nations Unies ont ratifié au moins un des neuf traités internationaux relatifs aux droits de l’homme, et  80 % d’entre eux en ont ratifié quatre ou plus, imprimant ainsi une expression concrète à l’universalité de la DUDH et des droits de l’homme internationaux.
Comment le droit international protège-t-il les droits de l’homme ?

Le droit international relatif aux droits de l’homme énonce les obligations que les Etats sont contraints de respecter. En devenant parties aux traités internationaux, les Etats assument des obligations et des devoirs au titre du droit international et s’engagent à respecter, protéger et satisfaire les droits de l’homme.  L’obligation de respecter signifie que l’Etat doit se retenir d’intervenir dans l’exercice des droits de l’homme ou de les restreindre. L’obligation de protéger exige de l’Etat qu’il protège les personnes et les groupes contre les violations des droits de l’homme. L’obligation de satisfaire signifie que l’Etat doit prendre des mesures positives pour faciliter l’exercice des droits de l’homme fondamentaux.

En ratifiant les traités internationaux relatifs aux droits de l’homme, les gouvernements s’engagent à mettre en place des mesures et une législation nationales compatibles avec les obligations et les devoirs inhérents à ces traités. Le système juridique national fournit donc la protection juridique principale des droits de l’homme garantis par le droit international. Lorsque les procédures juridiques nationales ne remédient pas aux violations des droits de l’homme, il existe des mécanismes et des procédures pour traiter des plaintes individuelles et les plaintes de groupe aux niveaux régional et international et veiller à ce que les normes internationales des droits de l’homme soient effectivement respectées, mises en œuvre et appliquées au niveau local.

Site de l'ONU
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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 06:00
Préambule
Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.
Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité et que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l'homme.
Considérant qu'il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression.
Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales entre nations.
Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité des droits des hommes et des femmes, et qu'ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande.
Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l'Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales.
Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement.
L'Assemblée Générale proclame la présente Déclaration universelle des droits de l'homme comme l'idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l'esprit, s'efforcent, par l'enseignement et l'éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d'en assurer, par des mesures progressives d'ordre national et international, la reconnaissance et l'application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction.

Article 1
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

Article 2
1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.

Article 3
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

Article 4
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

Article 5
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Article 6
Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.

Article 7
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

Article 8
Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.

Article 9
Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.

Article 10
Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.

Article 11
1. Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.
2. Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d'après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a été commis.

Article 12
Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Article 13
1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un Etat.
2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.

Article 14
1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays.
2. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 15
1. Tout individu a droit à une nationalité.
2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.

Article 16
1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.
2. Le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein consentement des futurs époux.
3. La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l'Etat.

Article 17
1. Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété.
2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.

Article 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.

Article 19
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.


Article 20
1. Toute personne a droit à la liberté de réunion et d'association pacifiques.
2. Nul ne peut être obligé de faire partie d'une association.

Article 21
1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis.
2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays.
3. La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s'exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.

Article 22
Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque pays.

Article 23
1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.
2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.
3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.
4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

Article 24
Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.

Article 25
1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.
2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.

Article 26
1. Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite.
2. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.
3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.

Article 27
1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.
2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

Article 28
Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

Article 29
1. L'individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personnalité est possible.
2. Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.
3. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 30
Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

Site de l'ONU
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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 06:00

Pour adoucir les yeux, pour parer le visage,

Pour mettre sur le front, pour placer sur le sein,

Et, pourvu qu'une adroite main

Les sache bien mettre en usage,

On ne les met jamais en vain.

Si ma mouche est mise en pratique,

Tel galant qui vous fait la nique,

S'il n'est aujourd'hui pris, il le sera demain ;

Qu'il soit indifférent ou qu'il fasse le vain,


La Faiseuse de Mouches - Lettre à N. (vers 1661)


"Tache avantageuse", dans le langage précieux, la mouche, petite pièce de taffetas ou de velours noir que l'on se collait sur la peau pour en faire ressortir la blancheur et l'éclat, fut l'un des principaux accessoires de la beauté, de la mode et de la galanterie d'une partie des XVIIe et XVIIIe siècles. C'était, par cette exaltation des contrastes, l'accessoire baroque par excellence.

Les coquettes en usaient et en abusaient, on pouvait en porter plus de quinze. Elle n'était pas un accessoire exclusivement féminin ; les hommes en portaient aussi, en moins grand nombre toutefois. La mouche était un accessoire de mode, mais avant tout un instrument galant et de séduction. Son côté frivole était si clairement compris qu'un dame voulant paraître modeste ou sage en telle ou telle autre occasion n'en mettait pas. Il y avait tout un langage, un jeu subtile et une infinité de gradations basés sur le nombre, la forme  et la taille des mouches.

Les formes étaient variées, mais principalement rondes, ou de forme allongées. On appelait ces dernières des assassins ; les emplâtres étaient très grosses mouches que l'on plaçait sur les tempes.

Les mouches étaient conservées dans de petites boites spécialement conçues à cet effet : les boites à mouches.

Les mouches portaient toutes également un nom, et donc une signification particulière, on fonction de l'endroit où on la posait.

Près de l'œil, elle se nomme assassine ou passionnée.

Au coin de la bouche, c'est la baiseuse.

Sous la lèvre, elle devient friponne ou coquette.

Sur le nez, effrontée ou gaillarde.

Sur le front, la majestueuse

Sur la joue, c'est la galante.

Sur une ride, dans le creux du sourire , elle est enjouée.

Sur la poitrine, c'est la généreuse.

Sur un bouton, la receleuse.

Ou bien sur le menton, ne serait-ce point la discrète ?
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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 06:00
Au XVIIe siècle, alors que la sainte inquisition régnait en maîtresse, les espagnols ont mis au point cette « carte du tendre » afin de pouvoir marivauder à l’abri des indiscrets. L’éventail est plus qu’un objet de mode et de confort, il devient l’objet de séduction avec son langage codifié

 


Langage au XVIIIe

Bailler derrière son éventail : allez-vous en, vous m'ennuiez

Lever l'éventail vers l'épaule droite : je vous haïs

Abaisser l'éventail fermé vers le sol : je vous méprise

Effleurer son oeil droit de son éventail fermé : quand vous verrais-je ?

Faire signe vers soi de l'éventail fermé : j'ai tout le temps envie d'être avec vous

Menacer de l'éventail fermé : ne soyez pas trop audacieux

Soulever l'éventail de sa main droite : m’êtes-vous fidèle ?

Cacher ses yeux derrière son éventail : je vous aime

Proposer un éventail : vous me plaisez beaucoup

Dissimuler son oreille gauche sous son éventail fermé : ne dévoilez pas notre secret

Porter l'éventail à son coeur : je vous appartiens pour la vie

Refermer très lentement son éventail : j'accepte tout


Langage au XIXe

Ouvrir complètement l'éventail  : j'y songe

Poser sa main sur son coeur tout en tenant son éventail ouvert devant ses yeux : je vous aime

Indiquer le sol près de soi avec son éventail : approchez-vous de moi

Poser l'extrémité de l'éventail sur sa bouche : attention, on nous écoute

Serrer des deux mains l'éventail ouvert contre sa poitrine, en levant doucement les yeux : je vous demande humblement pardon

Effleurer sans cesse sa bouche de son éventail fermé : puis-je vous parler en tête à tête ?

Ouvrir complètement son éventail et l'agiter en direction de son interlocuteur : je souhaiterais être toujours avec vous

Regarder son éventail fermé : je pense tout le temps à vous

Serrer de la main gauche son éventail fermé sur son coeur : m’êtes-vous fidèle ?

Le nombre de brins non écartés indique l'heure convenue du rendez-vous : à l'heure convenue

Tourner la face interne de son éventail vers son interlocuteur : je ne pourrai pas venir

Promener l'extrémité de l'éventail sur la paume de sa main, comme pour former des lettres : je vous le ferai savoir par courrier

Chasser son interlocuteur de son éventail fermé : je ne vous aime pas

Diriger vers le bas son éventail ouvert, que l'on tient dans sa main : je vous méprise

Ouvrir et fermer rapidement son éventail : vous êtes trop audacieux

Refermer son éventail avec colère et le faire tourner fébrilement dans sa main : je suis fâchée contre vous

Appuyer son menton sur son éventail fermé : je boude

Écrire du doigt sur la face externe de son éventail : faites-le moi savoir pas courrier

Regarder son éventail ouvert, en balançant la tête d'un côté puis de l'autre : vous ne voulez pas du tout me connaître

Faire tourner de la main droite l'extrémité de son éventail fermé tenu de la main gauche : on vous trompe

Tenir entre les paumes, aux deux extrémités, son éventail fermé : j'exige une réponse

Indiquer une place de l'éventail fermé : asseyez-vous à côté de moi

Indiquer une place de l'éventail ouvert : ça suffit ! vous m'ennuyez

Montrer plusieurs fois son front de son éventail fermé : vous êtes fou ?

Appuyer son menton sur son éventail ouvert : cessez vous amabilités répugnantes

Appuyer son éventail fermé sur son épaule droite : je vous haïs

Laisser continuellement tomber son éventail fermé dans sa main gauche à demi fermée : pas un mot de plus

Agiter vers soi son éventail ouvert : dansez avec moi

Couvrir la paume de la main de son éventail ouvert, tenu de la main droite : gardez le secret

Donner son éventail fermé à son interlocuteur : vous me plaisez beaucoup

Appliquer l'éventail ouvert contre sa joue droite : oui

Appliquer l'éventail ouvert contre sa joue gauche : non

Appliquer l'éventail fermé contre son oreille droite : je vous écoute

Tenir l'éventail fermé suspendu à son cordon : je ne peux pas

Coller son éventail fermé à sa tempe gauche : cessez d'être jaloux

Fermer et ouvrir avec grâce son éventail : vos désirs seront comblés

Poser son éventail fermé sur le repli de sa main gauche : je ne vous comprends pas

Tendre avec grâce son éventail ouvert à son interlocuteur : bienvenue

Passer avec hâte son éventail fermé d'une main à l'autre : je suis très inquiète

En tenant l'éventail ouvert de la main droite, le faire tourner de la main gauche : mes parents ne le souhaitent pas

Frapper avec son éventail fermé entre les doigts de sa main gauche : nous devons interrompre notre conversation

Serrer son éventail fermé contre son coeur en le tenant des deux mains : épargnez-moi cette compagnie insupportable

Suspendre son éventail fermé à sa main droite : adieu, au revoir


extrait de « L'éventail à tous vents » (Louvre des Antiquaires, Paris 1989).

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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 06:00

Nous Evesque de Sainct Brieuc avons faict

la visite en léglise parochialle de ploeuc ce

vingt septiesme jour de May 1625

par command ... de Mond. Seigneur

Monseigneur le reverend Evesque

                             Gouret


L'évêque en question est André Le Porc de La Porte (1618-1631). Il est inhumé dans la cathédrale Saint-Etienne de Saint-Brieuc, où son tombeau est toujours visible.

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 06:00

- Sceau de 1419 : Guillaume de Penthevre (héraldique médiévale bretonne, images personnelles (vers 1350-1500), armoriaux, sceaux, tombeaux, Martine Fabre, 2003. WP27 : Guillaume de P /Penthevre. sc.leg.+S. Guillaume de Pentièvre. Genre Masc 1. TS armorial. TD sc. sc rond. Lieu 22. Scelle une quittance pour la réparation d'un moulin en paroisse de Plœuc. Date 1419. Période E (1400-1429). Armoirie : BRT , héraldique /sc, écu droit, au sautoir  au lambel. Période D (1360-1399). Armoirie BRT 00/écu droit ..., à la bordure décor l' écu dans un polylobé à redents. Sources : Archives Départementales des Côtes d'Armor. H ST Aubin 376 (1390), sc.fragm. Dossier : PH /1sc.).

- Réformation de 1426, Annor et Guillo de Penthièvre.

- Montre de 1469, Jean Penthièvre, de l'ordonnance.

- Montre de 1480, Jean Penthèvre, 5 livres de revenu.

- Réformation de 1536, Hervé de Painthièvre, à La Vieuville.


Dans les anciens actes, on parle du duché de Paintheure.

 

Puis dans les registres de Plœuc, aux XVIIème et XVIIIème siècles sont cités des Le Painteur.

- Péronnelle Le Painteur, baptisée à Plœuc en 1614.

- François Le Painteur, nommé parrain de Françoise Hervé, baptisée le 11 mai 1621, fille d'Antoine Hervé, sieur de Marialla, et de Marie Gouiquet.

- Maître François Le Paintheur, épouse Marie Hervé, dont :

1) Gilette Le Painteur, baptisée à Plœuc le 5 novembre 1619 ;

2) Jacques Le Paintheur, baptisé à Plœuc le 14 février 1623 ;

3) Laurence Le Paintheur, baptisée à Plœuc le 23 juillet 1624.

- Jacques Le Paintheur, épouse Jeanne Cadin, dont :

1) Louise Le Paintheur, baptisée à Plœuc le 25 octobre 1629.

- Florence Le Paintheur, de Plœuc, y épousa le 28 juillet 1662 Pierre Rousseau, de la paroisse Notre Dame de Moncontour.

- Yvonne Le Peintheur, née à Plœuc le 13 juillet 1686 et baptisée le lendemain, y décède le 10 août 1686 et inhumée le lendemain (témoin Pierre Le Peintheur), fille de Jean Le Peintheur, et de Gilette Moy.

- Honorable femme Péronnelle Le Peintheur, inhumée à Plœuc le 27 juillet 1686 à environ 70 ans.

 

Ces Le Painteur ont-ils un lien avec les Penthièvre qui furent jadis à La Vieuxville ?

Le patronyme Penthièvre s'est-il transformé en Painteur ?

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10 novembre 2008 1 10 /11 /novembre /2008 06:00
En 1689, le Parlement de Bretagne s'élève contre ceux  qui sont portés à désirer d'être inhumés dans les églises, mais sans grand effet.
Un arrêt du Parlement  du 16 août 1719 interdit les sépultures à l'intérieur des églises sauf pour les propriétaires d'enfeux. L'arrêt a pour but de lutter contre les odeurs et maladies dûes à la décomposition des corps, surtout durant les étés. Mais l'arrêt du Parlement se heute aux traditions populaires : enterrer les morts le plus près possible du maître-autel, car les en  éloigner réduit leurs chances d'accéder au Paradis.
Un autre arrêt du Parlement du 30 septembre 1739 confirme celui de 1719, et l'augmente d'une amende de 30 livres pour les contrevenants.
A Ploeuc, les inhumations dans l'ancienne église ont perduré jusqu'à la révolution.
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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 06:00
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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 06:00
A paraître le 27 novembre 2008

Le Petit Train des Côtes-du-Nord  - Ligne Plémy-Loudéac

Une étude historique de Jacques Danais
Avec un CD audio de témoignages d'usagers ou riverains du Petit Train, des histoires, des anecdotes...

Co-édition de l'Association des Chemins de Fer des Côtes-du-Nord et du Centre  de Ressources du Patrimoine Marc-Le-Bris.


La ligne du chemin de fer départemental Plémy-Loudéac
Pour réaliser cette étude historique, Jacques Danais, professeur d’histoiregéographie à Pontivy, a mené ses recherches aux Archives départementales des Côtes d’Armor, dans les registres des délibérations des conseils municipaux des communes concernées, ainsi que dans la presse locale.
Bien au-delà des quelques années d’exploitation de cette ligne, c’est au coeur du canton de Plouguenast et dans le Mené que l’auteur nous plonge de la fin du XIXe siècle au milieu du XXe siècle. Une première partie décrit la région concernée, sa population, ses activités économiques, et le contexte des moyens de transport utilisés avant l’arrivée du chemin de fer. Vient ensuite l’implication des personnalités politiques locales dans les dossiers ayant trait aux chemins de fer, des études préliminaires à la fermeture de la ligne.
C’est sur le développement de son agriculture que la région fonde tous ses espoirs. C’est également un objectif prioritaire des chemins de fer départementaux. Pour autant, la desserte du canton de Plouguenast n’est pas retenue dans le premier réseau déclaré d’utilité publique en 1900. Les discussions sur le second réseau, qui débutent quelques années plus tard, redonnent un nouvel espoir à cette région. L’attente est à la hauteur de la déception ressentie au moment du choix du tracé c’est d’ailleurs comme une compensation qu’est proposée la ligne Plémy-Loudéac via Langast, Plouguenast et La Motte.
L’équité est une chose, mais l’économie locale nécessite-telle réellement cette ligne, sachant que la ligne du réseau de l’Etat Saint-Brieuc-Loudéac est parallèle à son parcours sur de nombreux kilomètres ? Un certain optimisme à se sujet règne au Conseil général. La ligne Plémy-Loudéac est donc finalement incluse dans le programme des lignes à construire dans le second réseau déclaré d’utilité publique en 1912. Comme souvent, le choix du tracé définitif fait l’objet de nombreuses discussions, chaque village souhaitant voir le train s’arrêter à sa porte, débats que l’auteur détaille pour chaque arrêt de la ligne. La construction débute dès 1912, mais la guerre 1914-1918 interrompt tous les chantiers. Durant cette première période, la jonction des lignes du premier et du second réseau constitue une difficulté que les concessionnaires des deux réseaux doivent résoudre.
Le rachat de l’ensemble du réseau par le département en 1921 et son exploitation en régie viennent simplifier une situation qui s’annonçait ubuesque. Ce n’est d’ailleurs qu’en 1921 que reprennent les travaux de construction. Ils ne s’achèvent qu’en 1925, dans une conjoncture difficile pour les lignes départementales qui commencent à souffrir de l’avènement d’un nouveau concurrent : l’automobile.
Le dimanche 29 mars 1925, la ligne Plémy-Loudéac est enfin inaugurée et l’optimisme des personnalités locales quant à son succès est sans borne.
Malgré la liaison avec le Réseau Breton à Loudéac, le trafic de la ligne reste modeste et loin des prévisions escomptées. Le trafic voyageurs est particulièrement faible, sauf en de rares occasions, à tel point que les autorails De Dion JM, surnommés « La Chouette » dans la région, vont assurer seuls ce trafic de 1926 à 1934. Les convois vapeur sont réservés aux marchandises. Ce trafic marchandises, loin d’être négligeable, ne peut cependant à lui seul assurer la rentabilité de la ligne.
Dès 1934, le trafic voyageurs par voie ferrée est arrêté. L’apparition des camions, après les automobiles particulières et les autocars, va poursuivre la lente désaffection du rail au profit de la route.
Le 1er janvier 1937, les lignes du Mené sont officiellement fermées. Le déferrement entre Plémy et Loudéac s’effectue l’année suivante, seulement 13 ans après l’ouverture de la ligne !
Ouverte tardivement, la ligne Plémy-Loudéac n’a jamais bénéficié de la situation de monopole qu’ont connu les lignes du premier réseau. Son trafic ne s’est donc jamais développé face à un concurrent dont la technologie progressait rapidement, et surtout qui commença à bénéficier de chaussées goudronnées à partir de 1925. Pour autant, ce Petit Train est resté bien ancré dans la mémoire locale comme partout ailleurs dans le département.
Le CD qui accompagne le texte de Jacques Danais rappelle que le chemin de fer départemental a été un véritable acteur de l’histoire locale et que sa disparition a marqué la fin d’une époque à de nombreux points de vue.

Un DC audio de témoignages sur le Petit Train
Les membres du Centre Marc-Le-Bris ont recueilli des souvenirs de nombreux témoins, depuis la construction de la ligne jusqu'à sa fermeture en 1937.
Invitation à l'aventure autour du petit Train qui sifflait dans nos campagnes entre les deux guerres. Que de souvenirs ! Quelle belle époque !
Un parcours bucolique de Plémy (La Tantouille) à Loudéac…
Les anecdotes s'égrènent tout au long de la ligne qui traverse Langast, Plouguenast, La Motte. Les enfants de l'époque, aujourd'hui nos ainés, nous content leurs premiers voyages, les jeux interdits sur la voie, dans la gare, la vie rythmée par le sifflet de la Chouette et le passage des trains de marchandises…
A la fin du CD, vous pourrez écouter un conte de Vassili Ollivro, à partir du témoignage de Joseph Hamon, sur la polémique autour du choix de l'emplacement de la gare à Saint-Théo.



Format 18x25. 80 pages, 150g, couverture 350g.
En souscription jusqu'au 24 novembre : 12 € au lieu de 15 €


Revue d'Histoire n°20
Association des Chemins des Fer des Côtes-du-Nord

Bon de commande

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Le Petit Train des Côtes-du-Nord Ligne Plémy Loudéac, au prix de 12 € au lieu de 15 €.
O Je retirerai mon(es) exemplaire(s) à Boutdeville. Disponible(s) à partir du samedi 29 novembre.
O Je retirerai mon(es) exemplaire(s) à ExpoRail (Villebon. 28/29/30 novembre)
O Je souhaite une expédition à mon adresse et j'ajoute 3 € de frais de port par exemplaires.
Ci-joint un chèque de ……..… à l'ordre de l'Association des Chemins de Fer des Côtes-du-Nord
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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 05:00

Par ordre et consentement su Seigneur Comte de La Riviere
Venerable discret messire Mathurin claude
de K(er)saliou Abbé du Rechau Recteur de ploeuc
et gausson decedé d'hier aagé de 54 ans après avoir receu les
Sacrements d'eucharistie, poenitence, extreme
onction à été inhumé au tombeau des Seigneurs
de ploeuc en la ditte paroisse presents Escuyers
pierre de tremereu S(ei)g(neu)r de la Villerio et Louis
Berthelot S(ei)g(neu)r Dela Coste Le 10. xbre 1711. interligne
aagé de 54 ans approuvé. Julien Tual, Curé.
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Ecole Sainte-Anne

Ecole Sainte-Anne de Ploeuc

43, rue de La Gare

22150 Ploeuc-sur-Lié

02.96.42.10.26

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Un cadre prestigieux dans les Côtes d'Armor (Pays de Moncontour) pour organiser des évènements inoubliables, mariages, réceptions, week-end, séminaires d'entreprises, séjours à la semaine.

Site : http://www.chateau-de-bogard.com

Hôtel de La Rallière

012

Locations saisonnières à Preuilly-sur-Claise au coeur de la Touraine

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