I Maître François Hervé, épouse vers 1659 Mathurine Cadin, dont :
II Maître Yves Hervé, sieur de La Barre et du Plessis, né vers 1659 et décédé à Plœuc le 9 juin 1725, épouse Louise Triobert, née vers 1661 et décédée à Plœuc le 16 avril 1725, fille de Christophe Triobert et de Louise Hervé, dont :
III Maître Joseph-Marie Hervé, sieur de Bel-Orient, né à Plœuc le 23 octobre 1703 et y décède le 19 décembre 1767, sénéchal de La Hazaie en 1743, épouse à Langast le 17 août 1734 Elisabeth Berthelot, dame de La Coste, fille d’Yves Berthelot, seigneur du Val et des Vergers, baptisé à Plœuc le 14 avril 1668 et y décède le 27 août 1737, fit enregister ses armes en 1696, rendit hommage au nom de sa femme pour la seigneurie de La Roncière au duc de Penthièvre le 18 janvier 1700, et de sa première épouse Andrée-Renée de Guéhenneuc, dame de La Roncière en Plœuc, née vers 1654 et décédée à Plœuc le 7 octobre 1701, dont :
IV Maître Louis-Joseph Hervé, sieur du Lorin en Plénée-Jugon, né à Plœuc le 19 juillet 1737 et y décède le 30 avril 1813, épouse à Plœuc le 26 janvier 1773 Charlotte-Nicole Pinault de La Touche, née vers 1741 et décédée le 29 Germinal An II, fille de Georges Pinault de La Touche, capitaine-général des Fermes du Roi, et de Jeanne-Françoise Fournier, dont :
Reine-Yvonne Hervé, née à Plœuc sur Lié le 7 janvier 1774 et y décède le 18 septembre suivant ;
Elisabeth Claire Charlotte Hervé, née à Plœuc le 29 septembre 1775, épouse à Plœuc le 20 février 1797 Mathurin-François Huguet, fils de Vincent-Marie Huguet et de Françoise Touzé ;
Louis-Joseph Hervé, qui suit ;
Pélagie Rose Ollive Hervé, née à Plœuc le 30 avril 1780, épouse à Plœuc en 1807 Louis-Mathurin Radenac, né à Plœuc le 29 novembre 1781, chouan et lieutenant de Boishardy, fils de Julien Radenac et de Marie Ruellan, dont postérité ;
Joséphine Mathurine Charlotte Hervé, née à Plœuc le 21 septembre 1781 ;
Marie Agathe Charlotte Perrine Hervé, née à Plœuc le 30 mars 1783.
V Louis-Joseph Hervé, sieur du Lorin, né à Plœuc le 15 avril 1778 et y décède le 23 décembre 1839, officier de l’Armée Catholique et Royale, épouse à Plœuc le 17 février 1797 Anne-Joséphine Quintin de Kercadio, née à Bréhand le 23 juin 1779 et décédée à Auteuil le 10 avril 1824, fille de François-Joseph Quintin, écuyer, seigneur de Kercadio, né à La Villelouët en Bréhand le 9 décembre 1743 et y décède le 9 août 1785, et de Charlotte-Jeanne Le Bottey, née à La Villehervé en Planguenoual le 4 janvier 1742 et décédée à La Villelouët le 17 avril 1821, dont :
VI Charles-Jean Hervé du Lorin – Benneteau, né à La Villelouët le 30 Messidor An VII et décédé à Moncontour le 22 novembre 1850, adopté par le baron Charles Benneteau, chef de bataillon, chevalier dans l’Ordre de la Légion d’Honneur, maire de Bréhand en 1837, épouse à Moncontour le 12 juillet 1841 Charlotte Bisset Addisson, née à York en Grande-Bretagne le 23 août 1818, fille de John Addisson, officier, et de Louise de La Fosse, dont :
Charles-Pierre Hervé du Lorin – Benneteau, qui suit ;
Florant Jules Marie Hervé du Lorin – Benneteau, né à Moncontour le 29 avril 1843 ;
Emilie Joséphine Hervé du Lorin – Benneteau, née à Moncontour le 31 mai 1846 ;
Fernand Louis Joseph Hervé du Lorin – Benneteau, né à Moncontour en janvier 1849 et y décède le 10 décembre suivant ;
N Hervé du Lorin – Benneteau, né à Moncontour le 23 août 1851 et y décède le 12 septembre suivant.
VII Charles-Pierre Joseph Hervé du Lorin –Benneteau, né à Moncontour le 2 février 1841.
Hervé : de gueules, à deux chevrons d’agent entrelacés, au chef cousu d’azur chargé une anille d’argent.
I Messire Philippe Hugues Anne Roland Louis, marquis de Lusignan, chevalier, comte de Lezay, appelé le comte de Lusignan, né le 13 janvier 1731, capitaine réformé à la suite du Régiment du Roy-Cavalerie, puis mestre de camp d’un régiment de cavalerie de son nom, ci-devant Brionne (dont il obtint l’agrément au mois de mars 1749 ; ayant été détaché, avec 250 hommes, pour lever quelques contributions de grains dans le district de Magdeburg, il fut enlevé et conduit dans cette ville, où il fut traité avec de grands égards par ordre du Roy de Prusse, qui, peu après, le remit en liberté sur parole), brigadier des Armées du Roy en 1761, maréchal de camp des Armées du Roi en décembre 1762, puis lieutenant-général des Armées du Roy le 5 décembre 1781, émigré avec sa femme à Chambéry en 1791, épouse en premières noces le 17 février 1749 Louise Julie Blandine de La Rivière, née à Paris le 24 décembre 1730, fille de Joseph Yves Thibault Hyacinthe, marquis de La Rivière, seigneur de Kerauffret, de Saint-Michel et autres lieux, commandant la Seconde Compagnie des Mousquetaires du Roi en 1754, député des Etats de la province de Bretagne pour l’ordre de la Noblesse, et de Julie Louise Céleste de La Rivière, dame de compagnie de Madame Adélaïde de France, dame du Palais de la Reine d’Espagne, et en secondes noces Marie Anne Catherine Couraud, dame de La Roche-Chevreux, née le 6 mars 1739, présentée au Roi le 23 avril 1769, fille de François-César Couraud, chevalier, seigneur de La Roche Chevreux et d’Antoinette Marie Catherine Marthe de Pierre Bussière, dont du premier lit :
II Messire Hugues Thiebaut Henry Jacques, marquis de Lusignan, comte de Lezay, co-seigneur de Plœuc avec son cousin La Fayette du 20 avril 1781 au 5 août 1783, né le 22 décembre 1749 à Paris et y décède le 10 février 1814, mousquetaire de la garde ordinaire du Roy en sa seconde compagnie en 1763, sous-lieutenant au Régiment de Flandre-Infanterie le 1er mars 1763, puis aux Carabiniers en 1767, capitaine au Régiment de Conti-Ccavalerie en 1770, rang de mestre de camp en 1774 en quittant sa compagnie, mestre de camp en second au Régiment d’Orléans-Iinfanterie en 1776, chevalier dans l’Ordre Royal et Militaire de Saint Louis en 1782, mestre de camp commandant le régiment de Flandre-Infanterie du 1er janvier 1784 au 19 mai 1790, député de la noblesse de la ville de Paris aux Etats généraux le 16 mai 1789, se réunit au Tiers Etat un des premiers et se déclara partisan d’une monarchie constitutionnelle et neutralisa les bonnes intentions de son régiment à Versailles, lorsque la populace de Paris s’y porta le 5 octobre 1789, membre du parti monarchien, maréchal de camp des Armées du Roy le 19 mai 1790, part en Angleterre pour ses affaires le 10 juillet 1792 avec un passeport de la municipalité de Paris, inscrit sur la liste des Emigrés, obtient sa radiation définitive le 12 février 1800, revint à Paris, il s’était fixé à Abbeville dès le 17 octobre 1792.
Lusignan-Lezay (de) : burelé d'argent et d'azur de dix pièces, à l'orle de huit merlettes de gueules, au franc quartier de même.
Couronne de marquis.
DameAnne-Jeanne-Louise Hélène
Ferré, dame de La Ville es Blancs en Sévignac, née vers 1730, décédée en la paroisse Toussaints de Rennes le 11 novembre 1785 et inhumée le lendemain, dame de Plœuc et du Pont à l’Ane par
acquêt du 5 août 1783 (Archives Départementales des Côtes d’Armor, 1E 2541), [fille unique de François-Louis-Joachim Ferré, seigneur de La Ville es Blancs, conseiller au Parlement de Bretagne
pourvu le 15 octobre 1722 et reçu le 7 janvier 1723, né en la paroisse Saint Sauveur de Rennes le 2 avril 1700 et baptisé le lendemain, inhumé en la paroisse Notre Dame d’Alençon le 15 août 1730,
et de Jeanne-Hélène des Rondiers, dame de La Ville au Maître et de La Croix, née vers 1702], épouseen la paroisse Saint Jean
de Rennes le 1er septembre 1746Charles-François-René d’Andigné, marquis de La Chasse, né et baptisé en la paroisse Saint
Etienne de Rennes le 7 janvier 1722 et décédé le 19 avril 1782, conseiller au Parlement de Bretagne pourvu le 19 novembre 1746 et dispensé d’âge et de parenté avec son oncle Charles-Joseph
d’Andigné, seigneur de Saint Germain en Coglès (1704-1758), reçu le 24 décembre 1746, vendit son office par acte du 30 septembre 1782 au prix de 30 000 livres, à simple procure, à charge de
rembourser le droit de survivance de 3.438 livres et 3 sols payés par le vendeur le 5 août 1745,fils de Jean-René d’Andigné,
marquis de La Chasse, et de Marguerite-Françoise d’Andigné, dame de Kermagaro,sans postérité.
Andigné (d') :d’argent à trois
aigles de gueules, au vol adaissé, becquées et membrées d’azur.
Supports : Deux aigles au naturel. Couronne de marquis Devise : Aquila non capit muscas.
Ferré : d'argent à la fasce d'azur, accompagnée de trois molettes de même.
I MessireMichel Louis Christophe Motier, marquis de La Fayette [fils d'Edouard Motier de La Fayette, marquis de Vissac, né au Bouschet le 21 novembre 1669 et décédé à Vissac le 9 janvier 1740, blessé au siège de Mons et à la bataille de Spire, prit le nom de La Fayette en vertu de la substitution faite en faveur de son père, bénéficiaire du testament du 11 mai 1692 de René Armand dernier de la branche ainée, et de Marie-Catherine Suat de Chavagnac, née vers 1690 et décédée le 30 avril 1772], né le 13 août 1731 et tué par un boulet anglais à la bataille de Minden le 1er août 1759, épouse en la paroisse Saint-Sulpice de Paris le 22 mai 1754 Marie Louise Julie de La Rivière, dame du Vieux-Marché et de Saint-Quihouët, née en 1737 et décédée le 3 avril 1770, fille de Joseph Yves Thibault Hyacinthe, marquis de La Rivière, seigneur de Kerauffret, de Saint-Michel et autres lieux, commandant la Seconde Compagnie des Mousquetaires du Roy en 1754, député des Etats de la province de Bretagne pour l’ordre de la Noblesse, et de Julie Louise Céleste de La Rivière, dame de compagnie de Madame Adélaïde de France, dame du Palais de la Reine d’Espagne, dont :
IIMessire Marie Joseph Paul Yves Roch Gilbert Motier, marquis de La Fayette, né à Chavagnac le 6 septembre 1757 et décédé à Paris le 20 mai 1834, co-seigneur de Plœuc avec son cousin Lusignan du 20 avril 1781 au 5 août 1783, épouse le 11 avril 1774 Marie-Adrienne de Noailles, née en 1759 et décédée le 24 décembre 1807, fille de Jean-Paul de Noailles, duc d'Ayen, né le 26 octobre 1739 et décédé le 26 octobre 1824, et d'Henriette Anne Louise d'Aguesseau, dame de La Grange, née le 12 février 1737 et décédée à Paris le 22 juillet 1794, dont postérité.
Motier :de gueules à la bande d’or, à la bordure de vair.
Supports : deux bouquetins, les têtes contournées.
Couronne de marquis.
Cimier : une tête de cheval issante.
Devise : CUR NON ?
Le marquis de La Fayette
Citation :J’ai pu me tromper mais je n’ai jamais trompé personne.
Invention : cocarde tricolore, bleu, blanc, rouge.
IMessire Olivier-Yves de La Rivière, [fils d'Olivier de La Rivière, écuyer, seigneur du Plessis-Herupel en Plaintel, et de Vincente Pavic, dame de Kermartin en Minihy-Tréguier], chevalier, seigneur du Plessis-Herupel, de Kermartin et autres lieux, né posthume et baptisé en la paroisse Saint-Etienne de Rennes le 7 janvier 1636, décédé à Paris le 3 septembre 1709, seigneur de Ploeuc par acquêt du 22 février 1664 (Archives Départementales des Côtes d'Armor, 1E 2541), gouverneur de la ville et château de Saint-Brieuc et de la tour et forteresse de Cesson par lettres patentes données à Saint-Germain en Laye le 25 avril 1667, comte de Ploeuc par lettres patentes du 16 avril 1696 réunissant les terres et seigneuries de Ploeuc, de La Corbière et du Pont-à-L’Asne (Archives Départementales des Côtes d'Armor, 1E 658), épouse en 1659 sa parente Marguerite de La Rivière, dame de L'Isle-Aval en Saint-Pôtan, du Pont-Blanc en Plouaret et du Vau-Couronné en Quintenic, fille de Charles de La Rivière, chevalier, seigneur dudit lieu, de Saint-Quihouët en Plaintel, de Kerauffret en Bourbriac, de Saint-Michel en Guingamp, et de Marguerite Bernard, dame de L'Isle-Aval en Saint-Pôtan et du Vau-Couronné en Quintenic, dont :
II Messire Charles Yves Jacques de La Rivière, chevalier, marquis de La Rivière en Corlay, comte de Ploeuc, seigneur du Plessis-Herapel, de Kermartin, de Kergaric, du Pont-Blanc et autres lieux, né à Plaintel le 1er août 1662 et décédé le 3 janvier 1729, guidon des Gendarmes de la Reine, enseigne des Gendarmes Anglais, gouverneur de la ville et château de Saint-Brieuc et de la tour et forteresse de Cesson en 1708, épouse le 30 août 1689 Marie Françoise Céleste Le Voyer, marquise du Poulmy, vicomtesse de La Roche de Gennes, née en 1663 et décédée le 12 juin 1732, fille de Jean-Armand Le Voyer, chevalier, marquis du Poulmy, vicomte de La Roche de Gennes, seigneur de Ciran, de Boizé et autres lieux, décédé à Charleville en septembre 1674 des blessures reçues à la bataille de Seneff le 11 août précédent, mestre de camp de Cavalerie, brigadier des Camps et Armées du Roi, gouverneur de Chastelerault, et de Anne-Radegonde de Mauray, dame de Saint-Ouin, décédée le 20 décembre 1719, dont :
1- Gabrielle-Félicité de La Rivière, dame de Ciran, décédée en 1722, épouse par contrat du 12 novembre 1726 Thomas-Charles, marquis de Morant, chevalier, comte de Penzés, baron de Fontenay, seigneur de Bréquigny, né le 27 janvier 1706 et décédé à Bréquigny le 12 juillet 1750, conseiller au Parlement de Bretagne, fils de Thomas-Guy, marquis de Morant, chevalier, comte de Penzés, baron de Fontenay, seigneur de Bréquigny, né le 15 avril 1672, décédé à Bréquigny le 3 juillet 1722 et inhumé le surlendemain en la paroisse Saint-Germain de Rennes, lieutenant-colonel au Régiment de Lassay avec brevet de colonel, et d’Anne Le Roux de Kerninon, dont postérité ;
2- Charles de La Rivière, qui suit ;
3- Jean-Charles, chevalier de La Rivière, chevalier dans l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1699 ;
4- Françoise Anne Agathe Marguerite de La Rivière, dame du Poulmy, épouse Etienne Rivié, écuyer, baron de Chars, seigneur de Marine ;
5- Marie Louise Anne Céleste de La Rivière, dame de Mûr, épouse le 9 février 1718 Claude-Adrien de Lafond, écuyer, seigneur de Beuvrière, décédé le 17 juillet 1726 ;
6- Yvonnette-Françoise de La Rivière, dame de Ploeuc.
III Messire Charles Yves Thibault de La Rivière, marquis du Poulmy, comte de Ploeuc, seigneur de Kerauffret, né en 1691 et décédé le 20 avril 1781, lieutenant-général en 1745, gouverneur de Saint-Brieuc et de Rocroy, grand-croix dans l’Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, épouse Julie-Céleste Barberin de Reignac, fille de Louis Barberin, écuyer, comte de Reignac sur Indre, et de N de La Vallée de Pimodan, dont :
1- Julie Louise Céleste de La Rivière, dame de compagnie de Madame Adélaïde de France, dame du Palais de la Reine d’Espagne, épouse son parent Joseph Yves Thibault Hyacinthe, marquis de La Rivière, chevalier, seigneur de Kerauffret, de Saint-Michel et autres lieux, commandant la Seconde Compagnie des Mousquetaires du Roy en 1754, député des Etats de la province de Bretagne pour l’ordre de la Noblesse, dont : a) Joseph Jules Hyacinthe de La Rivière, né en 1756 et décédé en 1770, gouverneur de Saint-Brieuc en 1766 ; b) Marie Louise Julie de La Rivière, dame du Vieux-Marché et de Saint-Quihouët, née en 1737 et décédée le 3 avril 1770, épouse en la paroisse Saint-Sulpice de Paris le 22 mai 1754 Michel Louis Christophe Motier, marquis de La Fayette, né le 13 août 1731 et tué à la bataille de Minden le 9 juillet 1759, fils d'Edouard Motier de La Fayette, marquis de Vissac, né au Bouschet le 21 novembre 1669 et décédé à Vissac le 9 janvier 1740, blessé au siège de Mons et à la bataille de Spire, prit le nom de La Fayette en vertu de la substitution faite en faveur de son père, bénéficiaire du testament du 11 mai1692 de René Armand dernier de la branche ainée, et de Marie-Catherine Suat de Chavagnac, née vers 1690 et décédée le 30 avril 1772.
2- Louise Julie Blandine de La Rivière, née à Paris le 24 décembre 1730, émigrée avec mari à Chambéry en 1791, épouse par contrat du 17 février 1749 Philippe Hugues Anne Roland Louis, marquis de Lusignan, chevalier, comte de Lezay, appelé le comte de Lusignan, né le 13 janvier 1731, capitaine réformé à la suite du Régiment du Roy-Cavalerie, puis mestre de camp d’un régiment de cavalerie de son nom, ci-devant Brionne (dont il obtint l’agrément au mois de mars 1749 ; ayant été détaché, avec 250 hommes, pour lever quelques contributions de grains dans le district de Magdeburg, il fut enlevé et conduit dans cette ville, où il fut traité avec de grands égards par ordre du Roy de Prusse, qui, peu après, le remit en liberté sur parole), brigadier des Armées du Roy en 1761, maréchal de camp des Armées du Roy en décembre 1762, puis lieutenant-général des Armées du Roy le 5 décembre 1781, dont postérité.
Ramage de Mûr.
Rivière (de La) : d’azur à la croix engreslée d’or.
Yves Olivier de la Rivière, Chlé Comte dud. lieu
et de Ploeuc, Sgr du Plessis de la Rivière & Gouvé
de St Brieuc et Marguerite de la Rivière, sa feme.
Le 22 février 1664, Yves-Olivier de La Rivière, seigneur du Pont à l’Ane en Plœuc, acheta les seigneuries de Plœuc et de La Corbière,
saisie en 1662 sur la marquise de Montgaillard, pour la somme de 96.000 livres. L’acte de vente est daté du 5 avril 1664 (Archives Départementales des Côtes d’Armor, 1E 2541).
Il mentionne : Le château de la terre et seigneurie de Plœuc, appelé le château de La Corbière, logements, étangs, jardins, verger, droit de colombier, métairies, moulins, ois de
haute futaye et de décoration, nommé bois de Putual, rabines, prés et terres arables et non arables, rentes et chefrentes, dîmes, corvées sur les hommes et vassaux, fief et juriction avec droit
de haute, moyenne et basse justice, et patibulaire à quatre piliers de pierre, droit de prééminence et de patronnage en l’église paroissiale de Plœuc et trêve de Gausson en dépendante, de
laquelle église paroissiale de Plœuc lesdits seigneurs de ladite terre sont fondateurs et présentateurs et tout droit de lisières par dedans et par dehors de ladite église et de prières
nominales, armoiries, écussons et autres droits honorifiques, ensemble les autres droits qui dépendent de latite terre aux chapelles de Ste-Marguerite, le petit Saint-Brieuc, Saint-Just,
Saint-Eloy, même Saint-Léon, en Hénon, et outre, les droits de halle, de quatre foires par an, de marchés ordinaires chaque jeudi au bourg de Plœuc, péage, coutumes, four à ban dans ledit bourg,
commencé à bâtir, et généralement sans révervation, tout ce qui dépend de latite terre et seigneurie, le tout situé dans ladite paroisse de Plœuc, trêve de Gausson et paroisse de Hénon.
Par lettres patentes du 14 avril 1696, les seigneuries de Plœuc, de La Corbière et du Pont à L’Ane sont réunies et érigées en comté (Archives Départementales des Côtes d’Armor, 1E
658)
I Messire Geoffroy Berthelot, écuyer, cité en 1375 dans une montre d’Olivier de Clisson, père de :
II Messire Pierre Berthelot, écuyer, chancelier du Duc de Bretagne en 1418, employé dans un acte du 8 mai 1418 au rang des seigneurs, chevaliers, cheftaines, gens d’armes et autres que le Duc Jean V emmena avec lui dans son voyage en France, présent lors de la Réformation de la Noblesse en 1426, père de :
1) Guillaume Berthelot, qui suit ;
2) Jean Berthelot, seigneur de La Ville-Buor en Langueux, puis de Saint-Ilan en Langueux par acquêt de 1426 à Jean Le Bourdet, présent au nombre des gentilshommes qui délivrèrent le Duc de Bretagne à Champtoceaux sur un rôle du 22 mai 1420, épouse Jeanne de Tréal, peut-être fille d’Olivier de Tréal, seigneur dudit lieu et de Goray, et d’Anne de Saffré, dont postérité dans les seigneurs de Saint-Ilan, de La Ville-Buor, de La Chapelle, de Lestivy, du Cariollet, du Quilhée, de Brangolo, de La Ville-es-Zion, du Gage, de La Rue-Cochard, du Châtaignier, de La Longe, de La Touche, de La Pièce, du Clio et de La Ville-Main ;
Et peut-être :
3) Eon Berthelot.
III Messire Guillaume Berthelot, écuyer, seigneur de La Touche-es-Plats en Hénon, assista au traité d’alliance en les Ducs de Bretagne et de Bourgogne en 1423, inscrit aux rôles d’Hénon de 1426, 1427 et 1428, présent à Hénon lors de la Réformation de la Noblesse en 1427, prêta serment au Duc de Bretagne à Montcontour en 1437, est des parties de Saint-Brieuc au Parlement de Rennes en 1452, épouse vers 1423 Jeanne Pellouëzal, dame de La Touche en Trébry, d’où :
1) Charles Berthelot, écuyer, seigneur de La Touche-es-Plats, né vers 1419 et décédé après février 1494, partagea son frère Louis en 1473, présent à Hénon lors la montre du 8 janvier 1480 et se démit en faveur de son fils aîné le 5 février 1494, épouse Jeanne Le Corre, dont postérité ;
2) Louis Berthelot, qui suit.
IV Messire Louis Berthelot, écuyer, seigneur des Hellenault en Gausson, inhumé en la cathédrale de Saint-Malo où il avait une fonction à perpétuité par acte testamentaire du 3 février 1492, partagé à viage le 12 avril 1482, épouse Marie de Belloüan, dont :
1) Alain Berthelot, écuyer, cité dans un acte de tutelle du 4 janvier 1494 ;
2) François Berthelot, qui suit.
V Messire François Berthelot, écuyer, seigneur des Hellenault, décédé après 1508, épouse Guillemette Le Nouvel, dont :
VI Messire Jacques Berthelot, écuyer, seigneur des Hellenault, épouse Jeanne (de)Guéhenneuc, dame de La Roncière en Plœuc, d’où :
1) Mathurin Berthelot, qui suit ;
2) Jean Berthelot, écuyer, épouse N du Dréneuc ;
3) Renée Berthelot.
VII Messire Mathurin Berthelot, écuyer, seigneur des Hellenault, décédé le 7 mai 1615 et inhumé en la paroisse Saint-Mathurin de Moncontour le lendemain, épouse Marie Hervé, d’où :
1) Jacques Berthelot, qui suit ;
2) Alain Berthelot, écuyer, seigneur du Coudray en Plaintel, épouse Hélène Hubert, dame de La Maisonneuve, dont postérité dans les seigneurs des Rosaies, des Vergers, du Coudray, du Petit Coudray, de Tanoët et du Grand-Clos.
VIII Messire Jacques Berthelot, écuyer, seigneur des Hellenault et du Rocher, décédé à Plœuc le 5 février 1668, épouse Mathurine Hervé, d’où :
1) François Berthelot, écuyer, seigneur des Hellenault, maintenu dans sa noblesse par arrêt de la Chambre de la Réformation du 15 janvier 1669. ;
2) André Berthelot, écuyer, baptisé à Plœuc le 24 mai 1623, maintenu dans sa noblesse par arrêt de la Chambre de la Réformation du 15 janvier 1669, prêtre ;
3) Marie Berthelot, baptisée à Plœuc le 18 mars 1626 ;
4) Yves Berthelot, qui suit ;
5) Nicolas Berthelot, auteur de la branche de La Coste, (IXbis).
IX Messire Yves Berthelot, écuyer, seigneur des Vergers en Plœuc, baptisé à Plœuc le 18 avril 1629 et décédé entre 1694 et 1696, maintenu dans sa noblesse par arrêt de la Chambre de la Réformation du 15 janvier 1669, épouse à Plœuc le 22 avril 1661 Marie Hervé, décédée après 1694, fille d’Olivier Hervé, d’où :
1) François Berthelot, baptisé à Plœuc le 5 mai 1663 ;
2) Jacques Berthelot, écuyer, seigneur du Pordan, baptisé à Plœuc le 26 octobre 1664, fit enregistrer ses armes en 1696, épouse à Saint Ygneaux le 10 juillet 1704 Françoise Gourdel, dame de Botminy, née en 1680, fille de Jean Gourdel, écuyer, seigneur de Goëzilio en Laniscat, né en 1650 et décédé à Saint Ygneaux le 10 janvier 1720, dont postérité ;
3) Yves Berthelot, écuyer, seigneur du Val et des Vergers, baptisé à Plœuc le 14 avril 1668 et y décède le 27 août 1737, fit enregister ses armes en 1696, rendit hommage au nom de sa femme pour la seigneurie de La Roncière au duc de Penthièvre le 18 janvier 1700, épouse en premières noces à Plœuc le 3 février 1694 Andrée-Renée de Guéhenneuc, dame de La Roncière en Plœuc, née vers 1654 et décédée à Plœuc le 7 octobre 1701, fille puînée de feu Charles de Guéhenneuc, écuyer, seigneur de La Roncière, décédé à Coatuhan en Bréhant-Loudéac le 26 avril 1663, et de feu Marie-Marguerite Boussemel, inhumée en l’église Saint Paterne de Vannes le 6 décembre 1679, et en secondes noces à Plœuc le 5 juillet 1712 Claude-Hélène Le Métaër, dame du Préliby, née vers 1680 et décédée à Plœuc le 9 octobre 1741, fille d’Alain Le Métaër, écuyer, seigneur du Glaiolet, décédé avant août 1712, et de Bonnaventure Le Moine, dont du premier lit :
a) Elisabeth Berthelot, dame de La Coste ;
b) Jeanne-Renée Berthelot, baptisée à Plœuc le 23 août 1715 ;
c) Claude-Mathurine Berthelot, née en 1716, décédée le 9 avril 1791 et inhumée en la paroisse Saint Mathurin de Moncontour le lendemain, épouse Julien-Claude Gouicquet, seigneur de Bienassis en Trédaniel, dont postérité.
4) Jean Berthelot, qui suit.
X Messire Jean Berthelot, écuyer, seigneur des Vergers, baptisé à Plœuc le 9 novembre 1673, décédé avant 1773, épouse à Laniscat le 4 février 1709 Marie-Anne Gourdel, née à Laniscat le 22 mai 1683 et baptisée le 8 juin suivant, décédée après 1773, fille de Jérôme Gourdel, écuyer, seigneur de La Porte Jourdrain, décédé après 1694, et d’Anne deKerloaguen, d’où :
1) René-François Berthelot, baptisé à Plœuc le 16 janvier 1712.
2) Jacques Berthelot, qui suit ;
3) Jean Berthelot, écuyer, seigneur du Chesnay, né en 1733 et décédé sans postérité vers 1773, épouse à Plémy le 12 janvier 1773 Marguerite-Jeanne de Goyon, dame de La Lande en Plémy, née à Brangolo et baptisée à Plémy le 16 juillet 1735, fille aînée de Jean-Baptiste de Goyon, écuyer, seigneur de La Lande, de La Ville Norme et du Val en Plémy, du Vauby, et autres lieux, né en 1714 et décédé en 1783, et de Julienne Proffict, dame de Kerilan en Plessala, née à Kerilan le 4 janvier 1716 ;
4) Yvonne-Hélène Berthelot, décédée avant 1772, épouse Jean Limon, né à Plœuc en 1705, dont postérité ;
5) Marie-Anne Berthelot ;
6) Mathurine Berthelot, décédée avant 1772, épouse François Rebendaine, sans postérité.
XI Messire Jacques Berthelot, écuyer, seigneur des Vergers et du Chesnay en Plœuc, baptisé à Plœuc le 22 mai 1722, décédé au Chesnay le 9 janvier 1774 et inhumé dans le cimetière de Plœuc le lendemain, épouse peut-être le 18 octobre 1761 Marie-Françoise Morin, dame de Pont-Martin en Hénon, décédée entre 1767 et 1774, fille de Jean-François Morin, notaire à Plœuc, vivant en 1761, et de Charlotte Le Nouvel, partagée avec ses sœurs le 6 juillet 1742, décédée en octobre 1761, d’où :
1) Jacques-François Berthelot, écuyer, seigneur du Chesnay et de Beauregard en Trédaniel, né et baptisé à Plœuc le 6 mai 1760 et décédé à Beauregard en 1829, mis sous tutelle d’Yves-Pélage Gouicquet, sieur de Bienassis du 28 juillet 1774 au 31 mai 1778, épouse en la paroisse Saint Mathurin de Moncontour le 10 août 1801 Eugénie Marie Anne de Courson, née en 1775 et décédée en 1829, racheta le 19 Pluviôse An VII avec sa sœur Renée les terres confiquées, fille Jean-François deCourson, seigneur de Kernescop en Plouha, de La Ville-Vallio en Saint-Brandan, du Vau-Héry en Trédaniel et autres lieux, né à Trédaniel le 17 août 1718 et décédé à Moncontour le 18 Pluviôse An VII, officier au Régiment de Touraine, eut un certificat de résidence le 7 Ventôse An V, chevalier dans l’Ordre Royal et Militaire de Saint Louis, et de Jeanne-Marie de La Villéon, dame de La Ville-Pierre en Hillion, née le 11 décembre 1733, eut un certificat de résidence le 7 Ventôse An V, partagea ses enfants le 18 Germinal An VII suite au décès de son mari, dont postérité ;
2) Yves-Louis Berthelot, né et baptisé à Plœuc le 28 février 1763, décédé avant 1774 ;
3) Guillaume-François Berthelot, qui suit ;
4) Marie-Angélique Berthelot, née et baptisée à Plœuc le 7 septembre 1767, mise sous tutelle d’Yves-Pélage Gouicquet, sieur de Bienassis du 28 juillet 1774 au 31 mai 1778.
XII Messire Guillaume-François Berthelot des Vergers, écuyer, seigneur des Vergers, baptisé à Plœuc le 29 juillet 1764, mis sous tutelle d’Yves-Pélage Gouicquet, sieur de Bienassis du 28 juillet 1774 au 31 mai 1778, épouse en l’église Saint-Martin de Vertou le 8 octobre 1787 Marie-Thérèse Monnier de Bonacquest, née à Vertou le 8 août 1755 et baptisée le 10, décédée avant 1835, fille de Simon Monnier, écuyer, sieur de Bonacquest, né à Vertou le 8 février 1715 et baptisé le lendemain, décédé à Bonacquest le 1er août 1775 et inhumé à Vertou le lendemain, et d’Anne Cosson, née en 1727, décédée au bourg de Vertou le 4 mars 1790 et inhumée à Vertou le lendemain, d’où :
1) Guillaume-Paul Berthelot des Vergers, qui suit ;
2) Prudent-René Berthelot des Vergers, né à Vertou le 20 octobre 1792 et baptisé le 28, décédé à Bonaquest près de Vertou en 1870, professeur au Séminaire de La Chevaleraie en 1810, frère et professeur au collège de Cholet en 1812, bachelier es lettres le 10 juin 1813, prêtre à Sainte-Luce sur Loire, vicaire de la paroisse Saint-Jacques de Nantes ;
3) Auguste Berthelot des Vergers, baptisé en l'église Sainte-Croix de Nantes le 14 février 1795, décédé à Nantes le 11 septembre 1864 et inhumé dans le cimetière Saint-Anne, frère au collège de Cholet en 1812, prêtre de la paroisse du Temple de Bretagne, vicaire de la paroisse de Fay de Bretagne, prêtre de la paroisse Sainte-Anne de Nantes, testa le 3 septembre 1862.
XIII Messire Guillaume-Paul Berthelot des Vergers, baptisé le 16 septembre 1790 et décédé en sa demeure de Nantes au n°2 de la rue Camus le 19 octobre 1863, fusilier-grenadier puis sergent au 1er Régiment de Grenadiers à pied de la Garde Impériale, nommé lieutenant aide de camp du général Michel le 6 mai 1812 par l'empereur, employé à Glogau en Silésie en mai 1812, capitaine en 1815, blessé à Waterloo, partagea ses frères le 4 décembre 1835, présent à l’inauguration de la statue de Cambronne à Nantes le 23 juillet 1848, greffier en chef au Tribunal d’Arrêt de Nantes, chevalier dans l’Ordre National de la Légion d’Honneur.
Branche de La Coste
IXbis Messire Nicolas Berthelot, écuyer, maintenu dans sa noblesse par arrêt de la Chambre de la Réformation du 15 janvier 1669, ratifia la succession de Marie Boussemel le 4 mars 1680, épouse Jacquemine Hervé, dont :
1) Françoise Berthelot, baptisée à Plœuc le 2 septembre 1661 ;
2) Marie Berthelot, baptisée à Plœuc le 3 avril 1664 ;
3) Louis-Charles Berthelot, qui suit.
X Messire Louis-Charles Berthelot, écuyer, seigneur de La Coste en Plœuc, né vers 1669 et décédé à Plœuc le 4 février 1736, édifia le nouveau manoir de La Coste en 1691, épouse à Pordic le 31 août 1695 Marie-Renée des Cognets, dame de La Rouxière, née vers 1670 et décédée à Plœuc le 14 janvier 1746, fille de Jean des Cognets, seigneur de La Rouxière, et de Renée-Marie de Suasse, dont :
1) Louise Berthelot, née à Plœuc le 7 mai 1701 ;
2) Louis-Nicolas Berthelot, qui suit ;
3) Renée-Marie Berthelot épouse Claude-Charles Perret, seigneur de Lesmellec ;
4) Jacques-François Charles Berthelot, écuyer, seigneur de La Rue-Cochard, né à Plœuc sur Lié le 11 août 1706, épouse à Quessoy le 13 mai 1755 Jeanne-Hélène Berthelot, dame de La Ville-Main en 1750, fille de Cyprien Berthelot, écuyer, seigneur de La Ville-Main en 1738 et de La Pièce en Plédran en 1750, baptisé à Quessoy le 3 décembre 1683 et décédé après 1750, partagé en 1708, et d’Elisabeth de La Motte, dame du Clos, décédée le 18 juillet 1739, dont postérité dans les seigneurs de La Rue-Cochard.
XI Messire Louis-Nicolas Berthelot, écuyer, seigneur de La Coste, baptisé à Plœuc le 1er septembre 1702, fit enregister ses armes en 1696, épouse en la paroisse Saint-Michel de Saint-Brieuc le 19 novembre 1748 Jeanne Hindret de Beauvais, décédée à Plœuc le 19 mai 1773, fille de Jean-Louis Hindret de Beauvais, écuyer, et de Jeanne-Mauricette de La Moussaye, née vers 1692 et décédée à Plœuc le 26 mars 1772, dont :
1) Louis-François Berthelot, qui suit ;
2) Agathe Anne Louise Berthelot, baptisée à Plœuc le 25 juin 1755 ;
3) Pélagie Françoise Mauricette Berthelot, née et baptisée à Plœuc le 11 juin 1756 ;
4) Pierre-Jean Berthelot, né et baptisé à Plœuc le 28 janvier 1759 ;
5) Jean-Louis Berthelot, né et baptisé à Plœuc le 16 juin 1760 ;
6) Renée Berthelot, carmélite à Saint Denis.
XII Messire Louis-François Claude Berthelot, écuyer, seigneur de La Coste, né à Plœuc le 27 avril 1750 et baptisé le lendemain, décédé à Plœuc le 19 mai 1822, commandant de l’île de France de 1781 à 1783, adjoint au maire de Plœuc jusqu’en juin 1806 puis maire de 1817 au 19 mai 1822, chevalier dans l’Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, épouse à Plœuc le 17 avril 1787 Hélène-Elisabeth Hervé, fille de feu maître Yves-François Hervé, sieur de La Haute-Ville, et de Claire-Péronnelle Cherdel, dont :
1) Pélagie Joséphine Louise Berthelot, née à Plœuc le 10 juillet 1790 et baptisée le lendemain, décédée à Plémy le 6 janvier 1844, épouse à Plœuc le 24 juin 1813 Joseph Rio .
Berthelot : d’azur à trois jessants de lys d’or, alias, trois jessants de lys, accompagnés de six merlettes en orle et une étoile en abîme (sceau 1420-1421).
Ces armes auraient été octroyé par un Roy de France à un Berthelot, chef d’escadre, suite à des faits d’armes au cours d’une bataille navale contre le Roy d’Angleterre : d’où les trois lys de France transperçant les trois léopards d’Angleterre.
Le patronyme Berthelot tirerait son origine d’Henricus dictus Bertheloth (Henri dit le brillant), cité en 1271 sur la paroisse Saint-Eloi de Montauban de Bretagne.
- Histoire généalogique de la maison de Plœuc – Denis de THÉZAN
-Plœuc, autrefois et aujourd'hui-
Jean-Baptiste ILLIO, 1947.
-Regards sur le passé du canton de Plœuc- Roger TOINARD, 2004.
-Donatienne- René BAZIN, de
l'Académie française, Paris, 1947
-Dictionnaire des communes des Côtes d'Armor- Régis de SAINT JOUAN, Saint-Brieuc, 1990.
- L’Eglise de Bretagne, depuis ses commencements jusqu’à nos jours, ou, Histoire des siéges épiscopaux,
séminaires et collégiales, abbayes et autres communautés régulières et séculières de cette province– M. l’abbé TRESVAUX, Paris, M DCCC
XXXIX.
- Mélanges d’histoire et d’archéologie bretonnes–
Histoire et Archéologie Bretonnes, Rennes, Paris, 1855.
- Revue de l'art chrétien, Le trésor de la cathédrale de Tréguier– M. l’abbé J. CORBLET, Paris, 1859.
- La cathédrale de Tréguier Recueil de peintures et sculptures héraldiques– M. P. CHARDIN, Bulletin monumental de la Société d’Archéologie, Paris, 1886.
- Documents sur le tombeau, les reliques & le culte de S. Yves– M. D. TEMPIER, Société Archéologique et Historique des Côtes du Nord, Saint Brieuc, 1888.
- Un catalogue des Evêques de Tréguier rédigé au XVe siècle– René COUFFON, Société d’Emulation des Côtes du Nord, Saint Brieuc, 1930.
- Chapelles, Autels, Enfeux de la cathédrale de Tréguier– René COUFFON, Société d’Emulation des Côtes du Nord, Saint Brieuc, 1932.
- Réformation des fouages de 1426, diocèse de cornouaïlle– Hervé et Yann
TORCHET, 2001.
- Réformation des fouages de 1426, diocèse de Tréguier–Hervé TORCHET, 2003.
-Armorial du Vaumeloisel.Publié et annoté par le Vicomte du Breil de Pontbriand dans la Revue Historique de l’Ouest – 10èmeAnnée – Janvier 1894
-Armorial breton du XVIIèmesiècle.Vicomte du Breil de Pontbriand dans la Revue Historique de l’Ouest – 11èmeAnnée – Janvier 1895 ; d’un Registre-armorial de M. de la Bourdonnaye,
annoté par M. de Langle et par le Vicomte du Breil de Pontbriand.
- La Noblesse Bretonne aux XVe et XVIe siècles, Réformations et Montres, Evêché de
Vannes – Cte René de LAIGUE, 1900.
- Chevaliers Bretons de Saint Michel – M de CARNE, Nantes, 1884.
- Les chevaliers bretons de Saint Michel depuis la fondation de l’ordre en 1469– Jean-François Louis d’HOZIER, Paris, 1884.
- Histoire de ce qui s’est passé en Bretagne durant les Guerres de la Ligue et particulièrement dans le diocèse de
Cornoüaille – Chanoine MOREAU, Saint Brieuc, 1857.
- Prise et capitulation du château de Kerouzéré, novembre 1590– Société
Archéologique du Finistère, Quimper, 1893.
- Choix dedocuments inédits sur l’histoire de la Ligue
en Bretagne – Anatole de BARTHELEMY, Nantes, M.DCCC.LXXX.
- Documents Inédits– Société Archéologique du Finistère, Quimper,
1894.
-Marquisats, comtés, Baronnies et Vicomtés.– Toussaint CONEN de SAINT LUC.
- Biographie Bretonne, recueil de notice sur tous les Bretons qui se sont fait un nom, soit par leurs Vertus ou
leurs crimes, soit dans les Arts, dans les Sciences, dans les Lettres, dans la Magistrature, dans la Politique, dans la Guerre, etc., depuis le commencement de lère chrétienne jusqu’à nos
jours – P. LEVOT, Vannes, 1857.
- Armorial général de France (édit de novembre 1696) – Bretagne, publié d’après le manuscrit de Charles d’Hozier, de la Bibliothèque Nationale, R. CHASSIN du GUERNY, Rennes, 1930.
- Armorial général de Bretagne, Neuvième volume, IIème partie,
dressé en vertu de l'édit de 1696 par Charles d’HOZIER
- La Revue Historique de l’Ouest, année 14, 1898 – Penancoët (de), Arrêt des commissaires a la réformation de la noblesse rendu en faveur de MM. de
Penancoët.
- Pouillé Historique de l’Archevêché de Rennes – Amédée GUILLOTIN DE CORSON, Rennes,
1882.
- Dictionnaire de l’Etat-major Français au XVIe siècle, première partie Gendarmerie – Fleury VINDRY, Bergerac, 1901.
- Notice paroissiale : Landudec – CONEN de SAINT LUC, Bulletin de la Société
Archéologique du Finistère, 1917.
- Recueil de tous les membres composant l’Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis depuis
1693, volume I & II – Jean-François-Louis d'HOZIER, Paris, 1817.
- Le Parlement de Bretagne 1554-1790 – Frédéric SAULNIER, Rennes, 1909.
- Code rural, ou Maximes et réglements concernant les biens de campagne – M. Avocat au
Parlement, Paris, M.DCC.LXII.
- Procès entre le le comte de PLOEC, conseiller au Parlement de Bretagne et Messire René-Théophile de MAUPEOU,
marquis de Sablonnière – Geneviève AUDREN, Centre Généalogique et Historique du Poher, 2004.
- Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de France – M. LAINE, Paris,
MDCCCXXIX.
- Histoire de la Révolution dans les départements de l’ancienne Bretagne – A. DUCHATELLIER,
Nantes, Paris, 1836.
- Histoire Généalogique de la Maison du Breil – Rennes, MDCCCLXXXIX.
- Catalogue des gentilshommes qui ont fait leurs preuves devant les généalogistes du Roi pour être admis aux
Ecoles Royales et au service militaire.
- Essai sur l’histoire financière de la Turquie – A. du VELAY, Paris, 1903.
- Les convulsions de Paris. – Maxime du CAMP, Paris, Hachette, 1881.
- La vérité sur la commune. – Charles BESLAY, Bruxelles, 1877.
- Histoire de France depuis 1789 jusqu'à nos jours. – Henri MARTIN, Jouvet, 1885.
- Etat des fonds privés relatifs au xixe siècle conservés à la section des archives privées du Centre Historique
des Archives Nationales. 272 AP – Fonds Ploeuc. 272 AP 14-25 Marquis de Plœuc (1815-1888), député, sous-gouverneur de la Banque de France, homme d’affaires.
XIXe.
- Dictionnaire des Parlementaires Français comprenant tous les Membres des Assemblées françaises et tous les
Ministres français, depuis le 1er mai 1789 jusqu’au 1er mai 1889, avec leurs noms, état civil, états des services, actes politiques, votes parlementaires, etc. – Adolphe
ROBERT, Gaston COUGNY, Paris, 1889.
- Noblesa catalanacavallers y burgesos honrats de Rossello y Cerdanya – Philippe LAZERME de
REGNES, 1977.
- Annuaire de l’état militaire de France pour l’année MDCCCXXVI, publié sur les documents du Ministère de la
Guerre, avec autorisation du Roi, Paris, 1826.
I Charles Eliot, né à Locmalo près de Guémené sur Scorff vers 1680, laboureur au lieu de Menauray, épouse Françoise Le Bourhis, dont :
II Guillaume Eliot, depuis, Illiot, baptisé à Locmalo le 10 juillet 1706 et décédé à Gausson le 25 juin 1746, menuisier, épouse à Gausson le 6 février 1734 Marie Le Maitre, née vers
1712, filandière, dont :
1) Mathurine Illiot, née à La Croix Rouge en Gausson le 22 février 1735 et décédée le 10 juillet 1736 ;
2) Joseph-François Illiot, qui suit ;
3) Olivier-Fraçois Lio, né à La Croix Rouge le 22 juin 1739, épouse en février 1766 Pélagie-rose Boishardy, dont postérité ;
4) Pierre Illio, né à La Croix Rouge le 20 février 1743 ;
5) Jacques Illio, né à La Croix Rouge le 11 mai 1745 et décédé le 4 juillet suivant ;
6) Marie-Rose Ilio, née à La Croix Rouge le 20 août 1746.
III Joseph-François Illio, né à La Croix Rouge le 5 juillet 1736, tisserand, épouse à Gausson le 26 juillet 1760 Isabelle Clément, née vers 1741, filandière, d'où neuf enfants, dont :
IV Julien-François Illio, né le 11 janvier 1779 et décédé vers 1852, laboureur et tisserand, épouse le 1er octobre 1803 Perrinne Gallais (nom rectifié en Callec en 1816), née à Gausson
vers 1780, dont :
1) Marie-Anne Isabelle Illio, née le 21 août 1804 ;
2) Marie-Rose Illio, jumelle de la précédente ;
3) François-Marie Illio, né le 17 janvier 1807 et décédé vers 1895 ;
4) Anne-François Illio, née le 7 décembre 1808 ;
5) Isabelle-Françoise Illio, née le 11 septembre 1811 ;
6) Julien-François Illio, jumeau de la précédente ;
7) Suzanne Illio ;
8) Joseph Illio, qui suit.
V Joseph Illio, né le 21 octobre 1816 et décédé accidentellement en 1848 (écrasé par la rupture d'un pont), laboureur et charpentier, épouse en 1845 Anne Lebreton, née en 1815 et décédée à
La Roncière en Plœuc en 1875, ménagère, dont :
1) Jean-Marie Illio, qui suit ;
2) Ange Illio, née à La Roncière et décédée accidentellement en 1885 (noyade), employé aux Chemins de Fer, dont postérité.
VI Jean-Marie Illio, né à Gausson le 30 décembre 1845 et décédé à Saint Brieuc 21 août 1923, tisserand puis employé aux Chemins de Fer, habita La Roncière en 1848, épouse le 26 décembre
1872 Pélagie Georgelin, née le 15 octobre 1849 et décédée le 29 décembre 1900, fille de Jean-Marie Georgelin, né en 1810 et décédé en 1871, et de Marie Coeuret, née en 1810 et décédée en 1886,
dont :
1) Jean-Baptiste Illio, qui suit ;
2) Pélagie Illio, née à L'Hermitage le 11 novembre 1875, épouse en premières noces N Moulin, et en secondes noces A. Paul, dont postérité ;
3) Rosalie Illio, née le 2 décembre 1877, épouse le 7 avril 1907 Paul Bisbare, dont postérité ;
4) Léontine Illio, née à Saint Hervé 1er novembre 1879, épouse le 19 mars 1904 Auguste Leguenne, dont postérité ;
5) Pierre-Marie Illio, né à Ploufragan le 24 novembre 1881 et décédé le 30 décembre 1932, épouse Blanche Barot, dont postérité ;
6) Marie-Louise Illio, née à Saint Gérand le 13 août 1883, épouse Auguste Marchand, imprimeur, dont postérité ;
7) Louis Illio, né à Saint Gérand le 18 août 1885 et décédé le 10 août 1925, vendeur de cycles et coureur cycliste, épouse à Guingamp en octobre 1915 Jeanne Loisel, sans postérité ;
8) Emile Illio, né à Saint Gérand le 2 juin 1889 et décédé le 7 janvier 1934, marchand de journaux et coureur cycliste, épouse Léonie Quémard, dont postérité.
VII Jean-Baptiste Illio, né à La Roncière le 18 novembre 1873 et décédé célibataire à Saint Brieuc en 1963, bachelier avec la mention très bien, sténographe à l'Agence Havas à
Paris jusqu'en 1909, sténographe au Conseil Général des Côtes du nord de 1909 à 1934, professeur en sténographie aux cours professionnels de Saint Brieuc de 1919 (date de création) à 1933, membre
de la Commission de la Bibliothèque Munucipale de Saint Brieuc depuis 1919, sténographe de la Chambre d'Agriculture des Côtes du nord de 1927 à 1940, conseiller municipal de Saint Brieuc de 1912
à 1935, croix de guerre, croix du Combattant 1914-1918, auteur de Histoire de Saint Brieuc ;Conen de Prépéan, père de la Sténographie ; Cours complet
de Sténographie ; Ploufragan, autrefois et aujourd'hui ; Plœuc, autrefois et aujourd'hui ; Les rues de Saint Brieuc, leur histoire,
leurs curiosités ; Les Deux Voies, poésies ; Mes souvenirs de Guerre, 1914-1918 ; Jean-Baptiste Illio, raconté par lui-même.
II. Messire Etienne, sire de Bréhant, chevalier, décédé lors de la dernière croisade en 1274, épouse Alix de Rohan, dont :
1) Jehan, sire de Bréhant, chevalier, croisé en 1275, cité en 1309, épouse Sibylle de Beauport, dont postérité dans les seigneurs de Belle-Issue, de Galinée, du Plessis-Mauron, comtes de Mauron et de Plélo ;
2) Geoffroy de Bréhant, qui suit ;
3) Bertrand de Bréhant, cité en 1275.
III.Messire Geoffroy de Bréhant, écuyer, seigneur du Glécoët en Bréhant-Loudéac, épouse Tiphaine du Boisglé, dont :
IV. Messire Robin de Bréhant, écuyer, seigneur du Glécoët, père de :
V. Messire Jehan Ier de Bréhant, écuyer, épouse une demoiselle Le Moënne, peut-être dame de Saint-Eloy en Plœuc, dont
VI. Messire Eon de Bréhant, écuyer, seigneur de L’Isle en Plœuc, mineur en 1421, présent à la réformation de Plœuc du 7 octobre 1426, reçu du Duc François Ier le droit de tenir deux foires au village de Saint-Eloy, avec les droits, franchises et libertés accoutumés, père de :
VII. Messire Antoine Ier de Bréhant, écuyer, vicomte de L’Isle, mentionné dans un aveu donné au duc Jean de Brosses, comte de Penthièvre en 1443, cité dans un extrait des registres de la Chancellerie de Bretagne et dans la montre de 1469, épouse vers 1450 Jeanne de Couvran, fille de Jean de Couvran et de Margilie de La Roche-Rousse, dont :
1) Pierre Ier de Bréhant, qui suit ;
2) François de Bréhant, auteur de la branche de Saint-Eloy, (VIIIbis) ;
3) Jeanne de Bréhant, décédée après 1475, épouse Jean Le Forestier ;
Et peut-être :
4) Honoré de Bréhant.
VIII. Messire Pierre Ier de Bréhant, écuyer, vicomte de L’Isle, épouse avant le 29 janvier 1472 Jeanne Boudart, dame de Couësquelen en Ménéac, décédée après 1501, fille d’Olivier Boudart, seigneur de Couësquelen, dont :
1) Antoine II de Bréhant, qui suit ;
2) Jacques de Bréhant, écuyer, employé dans la Réformation de 1513 ;
3) Jean de Bréhant, écuyer, partagé à viage en 1504, employé dans la Réformation de 1513, reçut de son frère aîné, Antoine de Bréhant, par acte de 25 juin 1510, sa part de certains héritages dans les paroisses de Plémy et de Saint-Denoual ;
4) Catherine de Bréhant, épouse le 27 mars 1502 Robert de Quillivala, seigneur du Bé en Ménéac.
IX. Messire Antoine II de Bréhant, écuyer, vicomte de L’Isle, seigneur de Couësquelen, de La Ville-Rouxin en Plœuc, de La Ville-Mesreuc en Quessoy, de La Ville-Mereuc en Plédran (depuis Saint-Carreuc), de Beaurepaire, de La Ville-Guermel, de Langueznec et autres lieux, décédé après le 11 octobre 1538, épouse Marie du Parc, dame de La Noë, fille de Charles du Parc, seigneur de La Noë, dont :
1) Pierre II de Bréhant, qui suit ;
2) Hélène de Bréhant, dame de La Ville-Mesreuc, épouse Jean Budes, écuyer, seigneur de Quatrevaux, dont postérité.
X. Messire Pierre II de Bréhant, écuyer, vicomte de L’Isle, seigneur de Couësquelen, de La Vigne, de La Noë et autres lieux, épouse Jeanne de Rosmar, dont :
1) Antoine III de Bréhant, qui suit ;
2) Catherine de Bréhant, épouse en premières noces Jean Le Hidoux, écuyer, seigneur de Renou en Bréhand-Moncontour, et en secondes noces Jean Le Chaponnier, écuyer, seigneur de Lezerec ;
3) Jeanne de Bréhant, épouse Bertrand de La Villéon, écuyer, seigneur des Marais en Hillion.
XI. Messire Antoine III de Bréhant, écuyer, vicomte de L’Isle, seigneur de Couësquelen et autres lieux, épouse Radegonde des Déserts, dame de Bréquigny en Châtillon-sur-Seiche, de La Fontaine en Corps-Nuds, de La Villeneuve en Toussaints et autres lieux, fille de Louis des Déserts, écuyer, seigneur du Plessis en Loudéac, de Bréquigny et autres lieux, décédé le 21 avril 1536, premier président au Parlement des Grands Jours de Bretagne en 1528, et d’Olive Thierry, dame de La Fontaine, dont :
1) Thibault de Bréhant, qui suit ;
2) Catherine de Bréhant, épouse Charles de Bréhant, écuyer, seigneur de La Rivière-Bréhant, du Val, de La Roche et autres lieux, vivant en 1583, fils de Julien de Bréhant, écuyer, seigneur de La Rivière-Bréhant, dont postérité ;
XII. Messire Thibault de Bréhant, écuyer, vicomte de L’Isle, seigneur de Couësquelen et autres lieux, épouse le 1er octobre 1560 Isabeau de Turnegouët, dame de La Pommeraye, fille de Jean de Turnegouët, seigneur de La Pommeraye, de La Soraye, du Tronchay-Dolo, du Tronchais-Budes en Ploufragan, des Rues en la paroisse Saint-Michel de Saint-Brieuc et autres lieux, cité en 1493, présent à la montre de l’arrière-ban de Lanvollon du 10 juillet 1523, et de Françoise Le Borgne, dont :
1) Jean II de Bréhant, qui suit ;
2) Jeanne de Bréhant, épouse Geoffroy de Kerverder, écuyer, seigneur de Kerdauren, fils de Nicolas de Kerverder et d’Anne Le Borgne, dont postérité ;
3) Julienne de Bréhant, épouse le 3 novembre 1594 François Turnegouët, écuyer, fils de Jacques Turnegouët, écuyer, seigneur de La Villeraoul et de La Villeneuve, et de Catherine Collet, dont postérité.
XIII. Messire Jean II de Bréhant, chevalier, vicomte de L’Isle, seigneur de Couësquelen, de La Pommeraye et autres lieux, épouse Jacquemine du Rouvre, dame du Boisboissel en Saint-Brieuc, fille de Bertrand du Rouvre, écuyer, seigneur dudit lieu en Saint-Pierre de Plesguen et du Bois-Bouëssel, et de Françoise Henry, dont :
1) Jean III de Bréhant, qui suit ;
2) Charles de Bréhant, seigneur de Couësquélen et de Restronalen, partagé noblement le 11 novembre 1614, épouse le 21 novembre 1614 Catherine Raoul, dame de Kerriou, fille de Thibault Raoul, écuyer, seigneur de Kerriou, et de Marguerite du Fresne, dont postérité ;
3) Jacques de Bréhant, écuyer, seigneur du Bé, partagé noblement le 11 novembre 1614 ;
4) Julienne de Bréhant, partagée noblement en 1601, épouse en premières noces de 1600 Pierre Conen, écuyer, seigneur de La Ville-L’Evêque en Pordic, et en secondes noces Christophe du Pontual, écuyer, seigneur de La Ville-Révault en Saint-Lunaire ;
5) Marguerite de Bréhant, épouse Jacques de Beaufurel,écuyer.
XIV. Messire Jean III de Bréhant, chevalier, vicomte de L’Isle, seigneur du Bois-Bouëssel, de La Pommeraye et autres lieux, décédé le 26 juillet 1640 et inhumé en la chapelle Notre-Dame des Carmes de Paris, gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi en 1598, écuyer ordinaire de la petite écurie du Roi en 1615, épouse par contrat du 9 novembre 1598 Claude de Bréhant, dame de Hédé, dame d’honneur de la Reine, fille d’Antoine de Bréhant, seigneur de La Roche, décédé entre 1603 et 1614, gouverneur de Guingamp en 1570, écuyer tranchant de la Reine-Mère en 1578, capitaine du château de La Bastille en 1598, ordinaire du Roy, et de Catherine de Reilhac, dame de Bonneuil sur Marne, dont :
1) François de Bréhant, chevalier, vicomte de L’Isle, seigneur du Bois-Bouëssel, de La Pommeraye, du Rouvre et autres lieux, baptisé à Paris le 17 décembre 1610, décédé à Saint-Sulpice de Paris le 22 juillet 1664 et inhumé le 25 en la chapelle des Carmes de Paris, conseiller au Parlement de Bretagne pourvu le 4 juin 1644 et reçu le 11 janvier 1645, vendit l’office par contrat passé à Rennes le 8 février 1653, gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roy, chevalier dans l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem au grand prieuré de France en 1630, épouse par contrat du 12 octobre 1642 Françoise du Poulpry, née à Ploudaniel et inhumée en la paroisse Saint-Eustache de Paris le 22 décembre 1696, fille de François du Poulpry, écuyer, seigneur de Trébodénic en Ploudaniel, inhumé aux Jacobins de Rennes le 5 octobre 1648, conseiller au Parlement de Bretagne pourvu le 31 août 1616 et reçu le 29 octobre suivant, et de Guillemette du Drenec ;
2) Louis-Antoine de Bréhant, qui suit :
3) Hercules de Bréhant, écuyer, baptisé le 26 novembre 1616 ;
4) Louis de Bréhant, écuyer, baptisé le 23 avril 1619 ;
5) Roger de Bréhant, écuyer ;
6) Pierre de Bréhant, écuyer ;
7) Claude de Bréhant, épouse le 21 juin 1642 François du Tronchay, seigneur de Martigné, secrétaire du Roi, grand-audiencier de France, dont postérité ;
8) Catherine de Bréhant, religieuse en l’abbaye du Val de Grâce le 21 septembre 1614.
XV. Messire Louis-Antoine de Bréhant, chevalier, vicomte de L’Isle, seigneur de Keranno en Grâces par acquêt, épouse en 1666 Marie Le Brun, née en 1645 et décédée en 1722, fille de Jacques Le Brun, sieur de Kerprat, de Kerguidoué et de Trohadiou, né à Guingamp en 1612 et décédé le 6 décembre 1685, maire de Guingamp de 1644 à 1645, secrétaire du Roi à la Chancellerie de Bretagne de 1676 à 1685, et de Béatrice Couppé, dont :
1) Jacques-Claude de Bréhant, chevalier, vicomte de L’Isle, jésuite ;
2) Louis-Antoine de Bréhant, qui suit ;
3) René-Louis de Bréhant, décédé en 1741 ;
4) Françoise de Bréhant, religieuse ;
5) Vincente de Bréhant, épouse en 1680 François du Boisbilly, écuyer, seigneur de Bodiffé en Plémet, dont postérité.
XVI. Messire Louis-Antoine de Bréhant, chevalier, vicomte de L’Isle, seigneur du Bois-Bouëssel, de La Pommeraye et autres lieux, épouse Jeanne Hérisson, dont :
1) Marie-Jacques, marquis de Bréhant, qui suit ;
2) Anne de Bréhant.
XVII. Messire Marie-Jacques, marquis de Bréhant, chevalier, vicomte de L’Isle, seigneur du Bois-Bouëssel, de La Pommeraye et autres lieux, né en la paroisse Saint-Michel de Saint-Brieuc le 22 mai 1715, décédé le 30 ami 1765 et inhumé le lendemain en la paroisse Saint-Paul de Paris, colonel du Régiment de Picardie le 1er décembre 1745, maréchal de camp, inspecteur-général d’Infanterie, admis aux honneurs de la Cour en 1751, chevalier dans l’Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, épouse en premières noces du 10 mars 1746 Marie Jeanne Angélique Despech, décédée à Paris le 19 avril 1750 et inhumée à Saint-Roch, et en secondes noces à Bercy le 17 novembre 1755 Françoise-Jeanne Taschereau, fille de Gabriel Taschereau, écuyer, seigneur de Baudry et de Linières, né en 1673, décédé à Paris le 22 avril 1755 et inhumé le 26, maître des requêtes et lieutenant-général de police de la ville de Paris, conseiller d’Etat ordinaire, et de Philippe Taboureau, dont du premier lit :
1) Madeleine Angélique Charlotte de Bréhant, née le 15 avril 1750 et décédée le 26 juillet 1819, épouse par contrat signé par le Roy le 8 mars 1769 Charles-René de Maillé de La Tour-Landry, né le 5 octobre 1732 et décédé le 15 janvier 1791, baron puis comte de Maillé, page du Roi en sa petite écurie en 1750, capitaine de Dragons, colonel du Régiment de Condé-Infanterie en 1758, brigadier des Armées du Roi le 26 juillet 1765, gentilhomme de la chambre du prince de Condé, maréchal de camp le 3 janvier 1770, gentilhomme de la chambre de Monsieur, frère du Roi, en 1773, chevalier dans l’Ordre de Saint-Lazare en 1779, lieutenant-général des Armées du Roi le 1er janvier 1784, lieutenant-général du comté de Bourgogne, duc héréditaire de Maillé en 1784, fils de Charles-Louis de Maillé, comte de La Tour-Landry, chevalier, seigneur d’Entrames, né le 8 décembre 1712 et décédé le 20 octobre 1780, colonel d’Infanterie, et de Marie-Françoise de Savonnières, née le 7 août 1711 et décédée le 31 décembre 1779, dont postérité.
Marie le Brun,vedeLouis Antoine de
Brehant, Chlr, Sgr de l'Isle.
Branche de Saint-Eloy
VIIIbis. Messire François Ier de Bréhant, écuyer, seigneur de Saint-Eloy en Plœuc, épouse Péronnelle de Robien , dont :
1) Tristan de Bréhant, écuyer, seigneur de Saint-Eloy, décédé le 5 avril 1513, employé avec sa mère dans la montre de Plœuc en 1469 ;
2) Bertrand de Bréhant, qui suit.
IX. Messire Bertrand de Bréhant, chevalier, seigneur de Saint-Eloy, capitaine de 100 hommes d’armes et gouverneur de Penthièvre et de Moncontour, épouse en 1483 Guillemette Le Mintier, partagée le 17 juin 1498, fille de Guillaume Le Mintier, écuyer, seigneur des Granges en Hénon, et de Marie de La Roche, dont :
X. Messire Claude de Bréhant, écuyer, seigneur de Saint-Eloy, cité lors de la Réformation de Plœuc le 18 octobre 1513, père de :
XI. Messire Antoine de Bréhant, écuyer, seigneur de Saint-Eloy, cité lors de la Réformation de Plœuc le 18 octobre 1513, épouse Jeanne Visdelou, dame du Bois-Guyon, dont :
1) René de Bréhant, qui suit ;
2) Guillaume de Bréhant, écuyer ;
3) Jeanne de Bréhant, partagée noblement le 7 juillet 1558, épouse Thomas Le Mintier, écuyer, seigneur de La Ville-Fini, dont postérité ;
4) Marguerite de Bréhant, épouse Jean Piron, écuyer, seigneur du Heuréolou ;
XII. Messire René de Bréhant, écuyer, seigneur de Saint-Eloy, cité lors de la Réformation de Plœuc en 1535, fut chargé en 1558 de faire la revue de l’arrière-ban de l’évêché de Saint-Brieuc, surintendant des eaux et forêts de Jean de Bretagne, duc d'Etampes, comte de Penthièvre le 20 février 1557, épouse Marguerite de La Lande, fille de Jacques de La Lande, chevalier dans l’Ordre Royal de Saint-Michel, écuyer de Catherine de Médicis en 1580, et de Geneviève de La Chapelle, dont :
XIII. Messire François II de Bréhant, écuyer, seigneur de Saint-Eloy et de Coëtinizan, épouse Isabeau de Lipot, dame de L’Hermitage, dont :
XIV. Messire Jacques de Bréhant, écuyer, seigneur de Saint-Eloy, épouse Jeanne du Quellenec, fille de Jean ou Geoffroy du Quellenec, écuyer, seigneur de Bienassis en Erquy, et de Marguerite du Guémadeuc , dont :
1) Anne de Bréhant, dame de Saint-Eloy qu’elle vendit par contrat du 16 avril 1663 à N des Cognets, écuyer, seigneur du Tertre, et à son épouse Jeanne Doudart, épouse en premières noces Florent L’Evesque, seigneur de Langourla, dont postérité, et en secondes noces Pierre-Anne, vicomte de Maure, chevalier, seigneur de L’Hermitage, sans postérité.
Bréhan (de), Bréhand (de) ou Bréhant (de) : de gueules, au léopard d’argent (sceau 1275), alias, de gueules, à sept macles d’or (branches de L'Isle et de Saint-Eloy), alias, de gueules, à trois macles d'or (branche du Glécoët).
Le troisième pot de justice fut donné en 1421 ou 1422 et confirmé le 18 décembre 1424, en faveur de Guillaume III, sire de Plœuc,
chevalier, seigneur du Tymeur et de Plouyé.
Au château de l’Hermine, 1421 ou 1422, 7 avril. – Jehan… A touz… Salut. Notre bien aimé et féal chevalier et
chambellan le sire de Plœuc, nous a présentement exposé comme, à cause de ses fiefs, terres et héritages qu’il tient de nous nuement et prochement en nos chastellenies de Moncontour et de Conq,
il a accoutumé avoir des temps passés et, de présent, à justice à deux pots, désirant icelles justices être acccrues à trois pots, pour l’augmentation de ses seigneuries, de sesdits fiefs, etrres
et héritages, humblement le nous requérant. Savoir faisons que nous, à qui de nos droits royaux, etc., octroyons par ces présentes pover, congé, licence et autorité de par nous, qu’il puisse pour
le temps à venir lever et faire lever, avoir et tenir justice à trois pots en sesdits fiefs, terres et héritages, que ainsi tient de nous nuement et prochement en notre dite chastellenie de
Moncontour et de Conq, à en jouir lui et ses hoirs et cause ayant à toujours mais par héritage, ou temps à venir, et un tant avons augmenté et augmentons ledits fiefs, terres et héritages dudit
sire de Plœuc. Si donns en mandement et commandans à nos sénéchaux, alloués et procureurs desdits lieux de Moncontour et Conq … En témoin de ce, nous avons fait mettre à ces présentes notre scel
et la soie et cire verte.
Sur le repli : Par le duc, de son commandement, presens : le grand mestre d’ostel, messires Jehan de
Polmic, Jehan de Kermelec, chers et chambelains, les archediacres et Rennes et de Leon et autres. – Pasquier.
Sur le recto, addition postérieure : Et au regart de certains opposicions et empeschemenz que dempuis le dabte de
nosd. Lettres, noz seneschal et prcureur de Cornouaille ont mis et donné aud. sire de Ploec sur le contenu de nostred. grace, en le voulant empescher de non faire lever ne acroystre sad. justice
en sesd. terre, fié et seigneurie qu’il tient de nous en nostre chastelenie de Foenent en cornouaille, pour ce que en sesd lettres, lled. de Ploec par erreur avoir fait mectre que les terreset
fié esqulex il demandoit l’augmentacion de lad. justice estoient sises en tenues de nous en bostre chastellenie de Concq, nous avons mis et mettons hors de ces presentes leds. opposicions et
empeschemenz… ; voulant que nonobstant lad. erreur, led. de Ploec face lever et puisse avoir et tenir, pour le temps advenir, sad. justice à troys poustz ès terres et fiez qu’il tient de
nous en lad. chatellenie de Fouenant, selon la fourme et effect de nostred. Precedente grace. Donné à Kemper Corentin, ie xviiie jour de decembre, l’an mil cccc vingt quatre. Par le
duc, de son commandement : le comte de Porhoet, le doyen de Nantes, messires Jehan de Kermelec et Henri du Juch, chers et chambellans, le seneschal de Cornouaille, pierres Ivete
conseiller, le procureur general et autres presens. – Coaynon.
Sieur de Ploeuc : Le Vaudelier, La Corbière, Ploeuc
Antoine de Bréhant : L’Isle, La Ville-Roussin
René de Bréhant : Saint Eloy
Jehan Visdelou : Le Pont à l’Ane, Saint Eloy, Le Vaudorbel, La Ville Junguennet, La Hazaie
Jacques Le Moënne : La Touche es Moines, La Touche Rouaud
Hervé Helbert : Le Ros, Les Clèches
Chaton : Bayo
François Guéhenneuc : La Roncière
Hervé de Paintievre : La Vieuville
Sieur de La Marre : Cosseul
Pierre de Kermser : Le Quartier
Le Moënne, sieur de La Bonyere : Launay
Hus : Le Mourier
Olivier Guéhenneuc : La Marre-Jouan
Roland Milon : Une maison au bourg
Sieur de Launay : La Saudrette
Jacques Visdelou : Hydrio
Sieur de La Marre-Jouan : La Grasaulnay
Sieur de Meur : La Hazaie
Un cadre prestigieux dans les Côtes d'Armor (Pays de Moncontour) pour organiser des évènements inoubliables,
mariages, réceptions, week-end, séminaires d'entreprises, séjours à la semaine.
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