En Bretagne, la noblesse avait ses propres codes. La hiérarchie des titres sous les ducs bretons y était différente de celle pratiquée alors par les rois de France. L'origine et la destinée des comtés, vicomtés et seigneuries châtelaines sont étudiés en prenant en compte les dernières recherches universitaires. Les érections de nouvelles baronnies et de bannières, ainsi que les mythes attachés aux neuf anciens barons, au roman des bannerets et à l'hermine héraldique sont analysés pour proposer de nouvelles pistes de réflexions.
Les premières entrées des ducs de Bretagne, leur couronnement à Rennes ainsi que l'intronisation des neuf évêques bretons comportaient des traditions dans lesquelles certains représentants de la noblesse jouant un rôle bien défini.
Cet ouvrage fait (re-)découvrir ces rites du Moyen Âge, en facilite la compréhension grâce à des études comparatives et permet, pour ceux qui le souhaitent, d'aller plus loin en donnant accès au corpus des sources correspondantes rassemblées à cet effet pour la première fois.
La troisième partie est consacrée à l'édition commentée du seul armorial institutionnel breton connu jusqu'alors inédit, ainsi qu'à la publication de pièces du procès entre le baron de Coëtmen et les États de Bretagne au XVIIIe
« Argumenté avec clarté et subtilité et accompagné d'un considérable apparat critique, Bertrand Yeurc'h nous offre un panorama riche et détaillé de l'évolution de la classe supérieure de la noblesse bretonne depuis les Mérovingiens. Instructif et parfois provocateur, voici un apport précieux à la littérature actuelle. Cet ouvrage permet de mieux comprendre cette évolution et constituera une base ferme pour de nombreuses futures pistes d'enquête. »Michael Jones, Professeur émérite de l'université de Nottingham.
Bertrand Yeurc'h, secrétaire du Centre International de Documentation sur le Monachisme Celtique (CIRDoMoC). ■
La Basilica di sant'Antonio - Padova
Sito ufficiale della Basilica - Santuario internazionale dedicato a Sant`Antonio in Padova, meta ogni anno di 5 milioni di pellegrini. Vi si trovano informazioni per organizzare pellegrinaggi, si ...
I. Guillaume Jarnet, demeurant à La Ville-Jagu en Ploeuc, épouse Guillemette Rogon, dont :
II. Guillaume Jarnet, né à La Ville-Jagu et baptisé à Ploeuc le 3 novembre 1645 et y décède le 25 mars 1698, épouse à Ploeuc le 10 mai 1672 Françoise Le Guen, née à Ploeuc le 3 mars 1658 et y décède le 11 juillet 1721, fille de d'Yves Le Guen et de Marguerite Choupault, dont :
III. Jean Jarnet, né à La Ville-Jagu vers 1674 et y décède vers 1720, épouse à Ploeuc le 30 juillet 1698 Marie Chapron, née au Clos-Glochet en Ploeuc vers 1678 et décédée à La Ville-Jagu le 31 décembre 1762, dont :
IV. Guillaume Jarnet, né à La Ville-Jagu le 29 mars 1708 et décède au Crémeur en Ploeuc le 5 mai 1772, greffier de Crémeur dès 1746, procureur et notaire à Ploeuc, épouse à Ploeuc le 13 février 1744 Jeanne Hervé, née à Ploeuc le 20 septembre 1721 et y décède le 3 avril 1774, fille de Jean Hervé et de Françoise Choupault, dont :
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IIIbis. Pierre Jarnet, baptisé à Ploeuc le 19 février 1694 et y décède le 3 juillet 1761, épouse à Ploeuc le 6 février 1723 Marguerite Hello, née à Ploeuc le 23 mars 1700 et y décède le 23 décembre 1762, fille de feu Jean Hello et de Françoise Turmel, dont :
IV. Pierre Jarnet, né à Ploeuc le 26 janvier 1728 et décédé à La Ville-Jagu le 19 avril 1799, épouse à Plouguenast le 26 février 1753 Cécile-Angélique Deusset, née à Plouguenast le 22 décembre 1720 et décédée à Ploeuc le 24 mai 1785, fille de Clément Deusset et de Jeanne Flageul, dont :
V. Yves-Joseph Jarnet, né à La Ville-Jagu le 28 août 1754 et y décède le 13 janvier 1823, maire de Ploeuc, épouse à Ploeuc le 2 mars 1791 Jeanne-Marie Jarnet, née à Ploeuc le 21 septembre 1763, fille de Guillaume-Nicolas Jarnet, né à Ploeuc le 22 août 1747 et y décède le 8 février 1820, et de feu Marie-Anne Hamono, dont :
VI. Jean-Marie Jarnet, né à Ploeuc le 6 septembre 1801 et y décède le 5 décembre 1863, épouse à Ploeuc le 17 juillet 1824 Louise-Anne Routier, née à Ploeuc le 6 avril 1806 et y décède le 7 mai 1857, fille de Louis-François Routier et de Françoise Pellé, dont postérité.
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Vbis Pierre Jarnet, né à Ploeuc vers 1765, épouse à Ploeuc le 25 janvier 1791 Marie-Madeleine Le Nouvel, née à Ploeuc vers 1770, fille de François Le Nouvel et de feu Marie Turmel, dont :
feu : ménage, foyer, famille. Ensemble des personnes vivant autrefois autour du même feu.
FFG : Fédération Française de Généalogie
filiation : lien de parenté unissant deux personnes dont l'une a été procréée par l'autre
filleul(e) : baptisé(e), par rapport à son parrain ou à sa marraine
fratrie : ensemble des frères et soeurs
GEDCOM : acronyme de Genealogical Data Communication. Format normalisé de fichier de données facilitant le passage d'un logiciel de généalogie à l'autre.
gendre : époux de la fille
généalogie : discipline qui a pour objet la connaissance de la parenté existant entre les individus ou dénombrement des ancêtres de quelqu'un ou science qui recherche l'origine et la filiation des familles ( de génos - race - ou généa - origine - et logos - science -)
généalogie ascendante : recherche des ancêtres d'une personne.
généalogie descendante : recensement des descendants d'un individu précis (généralement un ancêtre). (dans ce cas et contrairement à la généalogie ascendante : il est impossible de prévoir le nombre de descendants)
généalogiste : celui qui établit des généalogies. On parle de généalogistes professionnels et de généalogistes amateurs.
génération : désigne les personnes qui ont un même degré de filiation par rapport à un ancêtre commun. Désigne également l'intervalle (le nombre de rang) qui sépare deux individus (environ 25/30 ans en moyenne entre deux générations).
génétique : science des caractères héréditaires d'un individu liés aux gènes
germain, germaine : à l'origine, désigne les enfants nés des mêmes père et mère (frères germains, opposés à utérins et à consanguin). Puis, qualifie couramment les cousins qui ont au moins un aïeul en commun (cousins germains).
héraldique : science des blasons et armoiries.
hérédité : transmission des caractères d'un être à sa descendance
héritier : celui qui reçoit un bien ou un titre par succession
historiographe : celui qui écrit l'histoire de son temps ou de sa région, ou de ses contemporains
homonymie : identité de la désignation de personnes différentes
immigration : migration d'une personne depuis l'extérieur vers une circonscription administrative donnée
implexe : rapport entre le nombre réel et le nombre théorique d'ancêtres, généralement inférieur à 1 à cause des mariages entre branches d'un même arbre ascendant. Ex : dans une situation courante un individu a 8 arrière-grand-parents distincts. dans un cas d'implexe il va n'en avoir que 6 parceque cet individu a des parents qui sont cousins germains et donc des grand-parents [par des braches différentes] qui sont frères et soeurs.
inceste : union de personnes apparentées à un degré entraînant la prohibition juridique du mariage et conclue sans dispense de parenté au mariage
information :information absente : absence de renseignement en rapport avec le fait à prouver information adéquate : information à la fois crédible et précise information explicite : énoncé du fait à prouver lui-même information implicite : énoncé d'un fait autre que le fait à prouver, mais où le fait énoncé permet de déduire sans ambiguïté le fait à prouver information imprécise : énoncé d'un fait autre que le fait à prouver et où le fait énoncé ne permet pas de déduire sans ambiguïté le fait à prouver information inadéquate : information qui présente un défaut de crédibilité ou de précision information précise : énoncé sans équivoque du fait à prouver
insinuation enregistrement des actes sous l'Ancien Régime.
intestat qui n'a pas fait de testament.
inventaire après décés : liste des biens d'un défunt en vue de sa succession.
légitime : voir enfant légitime
liasse : ensemble de document archivés ensemble.
lieu : portion déterminée d'un territoire, lieu approximatif : lieu d'événement vraisemblable et déterminé au moyen de l'information présente dans des documents autres qu'un document de preuve par le fait, lieu d'enregistrement : la plus petite subdivision territoriale pour laquelle l'autorité compétente a désigné un rédacteur d'acte, lieu d'événement : lieu où est survenu l'événement auquel la personne a été associée, lieu de résidence : lieu ordinaire d'habitation d'une personne, lieu de survenance : voir lieu d'événement, lieu-dit : lieu nommé par la coutume locale, mais non reconnu par l'autorité, compétente, lieu précis : lieu correspondant à la plus petite subdivision administrative, lieu présumé : lieu approximatif traité comme auxiliaire d'enquête
lignage : ensemble des personnes issues en ligne directe d'une même souche.
ligne directe : lignée verticale entre différentes générations, fils, père, grand-père, arrière grand-père...
ligne collatérale : frères et sœur et leurs ascendants ou descendants.
liste éclair : liste de patronymes étudiée par un généalogiste (généralement avec dates et lieux)
livret de famille : institué en 1877, c'est à partir de ce moment que les variations d'écritures des patronymes ont disparues, les déclarants produisant une pièce écrite.
maisons : il s'agit de la descendance, de la lignée d'une famille noble.
manuscrit : texte écrit à la main et dont il n'existe qu'un seul exemplaire
marraine : femme qui tient un enfant au baptême
marâtre : autre épouse du père
matronyme : nom de famille transmis par la filiation maternelle
mentions marginales : report du résumé d'un acte en marge d'un autre acte
métayer : locataire d'une exploitation dont le loyer consiste en une part de la récolte.
microfilms
minutes notariales originaux des actes rédigés par les notaires, conservés à l'étude ou transmis aux archives départementales, on peut y trouver : contrats de mariage, testaments, partages, donations entre vifs, reconnaissance d'enfants naturels, tutelles, actes de notoriété, actes de ventes, etc...Le dépôt des minutes de plus de 100 ans est obligatoire depuis 1979 (sérieE) mais n'est pas encore achevé, consulter le fichier des notaires aux archives départementales, pour déterminer l'étude ayant succédé à l'étude originale, et consulter les services des Archives pour savoir si les minutes ont fait l'objet d'un dépôt ou non.
minutier : ensemble des minutes des actes notariés rédigés par un même notaire
monographie : étude d'un sujet précis : personnage, régio, événement historique
mormons : appellation courante pour "Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours". Propose à ses fidèles le baptême a posteriori de leurs ancêtres, d'où l'importance fondamentale de la généalogie pour les Mormons. Ils microfilment les archives dans le monde entier.
naturel : se dit d'un enfant né de parents non mariés ensemble.
neveu (nièce) à la mode de Bretagne : fils(fille) du cousin germain ou de la cousine germaine
NMD : Naissances, Mariages, Décés. Actes de l'Etat-Civil, depuis 1792. Ont remplacé les BMS *
nobiliaire : catalogue de familles nobles.
norme gedcom : voir GEDCOM
notaire : officier public établi pour recevoir des actes et contrats, personne chargée par l'état de la rédaction, de l'authentification et de la conservation des conventions conclues entre des particuliers
obiit : enfant mort-né. Parfois employé, en marge d'actes de baptême pour mentionner des décès intervenus quelques semaines plus tard et dépourvus d'acte de sépulture. Si la mort survenait peu de temps après la naissance, l'indication de ce terme en marge "dispensait" le pretre de dresser un acte de sépulture; il faut noter que ce terme latin était employé même lorsque les actes étaient rédigés en français. Existe sous forme abrégée soit "ob" soit tout simplement "o" (dans les nécrologes, livre tenu pour inscrire les défunts qui avaient donné des fonds pour dire une messe le jour de leur anniversaire de décès). Dans certains actes de sépulture : "obiit in sanctae ecclesiae communione" = il est mort dans la communion de la sainte église. Forme du verbe latin obeo qui sous sa forme intransitive signfie périr, mourir. "obiit" il est mort.
ondoiement : c'est un peu comme un baptême (mais en l'absence d'un prêtre). Il est autorisé quand un enfant est en danger de mort. Il a les mêmes effets que le baptême. Cette pratique fut introduite au XVIIe et XVIIIe siècle. L'ondoiement est ensuite complété, quelques semaines ou quelques mois plus tard, par les autres rite, avec parrain, marraine, cloches, repas de famille et dragées. Les nouveaux nés de la maison royale étaient ondoyés à la naissance, puis, parfois de longue années plus tard, baptisés. Cérémonie : l'eau doit être versée sur la tête de l'enfant accompagnée de la formule "je te baptise au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit".
L'enfant ondoyé, lavé du péché originel, peut aller au Ciel, tandis qu'un enfant mort avant d'avoir pu être ondoyé (ou baptisé) va dans les Limbes.
onomastique : Etude, science des noms propres (et spécialement des noms de personnes). Voir anthroponymie.
paléographie : Science consacrée à l'étude des écritures anciennes
parenté : relation entre des personnes déterminée, soit par des lois biologiques soit par des règles sociales ou juridiques ; relation existant entre le probant et la personne qui lui est apparentée ; ensemble des apparentés
parentèle : ensemble des personnes auxquels le probant reconnaît le statut d'apparenté
patronyme : nom de famille, commun aux descendants d'une famille. Son utilisation date du XIIIe et XIV siècle
petit cousin : cousin autre que cousin germain
pièce d'archives : plus petite unité archivistique indivisible ; elle peut être constituée d'une ou de plusieurs feuilles (un contrat de mariage, une lettre, etc.), d'un cahier, d'un registre.
prénom : partie du nom de personne servant à distinguer les personnes d'une même lignée agnatique
probant : celui qui fait sa généalogie ascendante. Autrefois, il s'agissait d'une personne devant donner des preuves de noblesse. Les généalogistes utilisent de préférence le terme "De cujus".
proverbe du généalogiste : "un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle"
puîné : tout enfant né après l'aîné, à l'exception du benjamin. Voir aîné, cadet et benjamin.
pupille de l'Etat : enfant abandonné, jadis devant le "tour" d'un hôpital.
pupille de la Nation : orphelin de guerre (loi du 27 juillet 1917 en application). Les enfants de pères tués à la guerre ou mutilés ou ayant des blessures avec séquelles importantes étaient adoptés par la Nation avec une prise en charge totale.
quartier : Ne s'emploie que pour la noblesse. Synonyme d'ancêtre. Ensemble des ancêtres composant une même génération avec une conotation de fierté sur l'origine noble de ces ancêtres.
recensement : dénombrement ordonné par l'État de la population résidant sur son territoire à une date précise. Le premier recensement date de 1774 (plus complets à partir de 1836). Depuis 1945 les communes n'ont plus l'obligation de verser aux Archives départementales un exemplaire des listes nominatives de recensements.
registres paroissiaux : ensemble des actes de baptême, mariage et sépulture (B.M.S.) jusqu'en 1792. Appelés aussi "registres de catholicité" car il ne concernent que les adeptes de la religion catholique. Il est rare d'en rencontrer datant d'avant 1600 car l'exemplaire unique des époques antérieures a dû traverser l'histoire en évitant les rongeurs, les insectes, les incendies, les pillages, l'humidité et surtout l'indifférence. Ils contiennent les actes de baptêmes, mariages et sépultures d'où l'abréviation de BMS. Ils étaient rédigés par les prêtres au niveau de chaque paroisse.
remué de germain : Cette expression signifie "cousin issu de germain"
régime matrimonial : ensemble des règles gouvernant les intérêts pécuniaires des époux
registre d'Etat Civil : registre tenu par un officier civil et servant à l'enregistrement de la naissance, du mariage et du décès des citoyens
représentation circulaire / horizontale/ verticale : arbre généalogique ayant des formes spécifiques
rôle : liste des contribuables.
série : subdivision de classement identifié par une lettre. Ensemble d'archives déterminé de manière conventionnelle soit d'après la matière (ex : série O consacrée à l'administration communale), soit d'après la période (ex: série L consacrée à l'ensemble des fonds administratifs et judiciaires du département pendant la période révolutionnaire), soit d'après la provenance.
sigillographie : science consacrée aux sceaux.
souche : personne qui a donné naissance à une lignée ou, parfois, lieu d'origine d'une lignée.
Sosa : terme simplifié et usuel pour Soza-Stradonitz
Soza - Stradonitz : système de numérotation utilisé pour une généalogie ascendante (la plus utilisée). Attribue à chaque ascendant un numéro : Vous portez le n°1, votre père porte le n°2, votre mère le n°3, votre grand-père paternel porte le n°4, votre grand-mère paternelle porte le n°5...
source : origine (d'une information). Nuance : Document, texte original.
Unité matérielle distincte (par la date, par le lieu, par l'auteur ...) renfermant un renseignement.
tables : terme courant pour Tables décennales
tables décennales : registres reprenant tous les actes d'état civil enregistrés dans une commune. Chacun des actes d'état civil y est inscrit. Dans les dépots d'archives nationales [Archives Départementales ou AD], la consultation des tables décennales permet d'accéder directement aux actes. Chacune de ces tables contient les données NMD pour une période de 10 ans d'où leur appelation.
témoignages : témoignages, souvenirs, entretiens. On ne prendra jamais assez de notes, elles ne seront jamais trop précises. Une photo avec un personnage non identifiable n'a plus de valeur. N'attendez pas que la grand-mère soit malvoyante pour lui demander de nommer les individus d'une photo.
proverbe généalogique : "un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle". Exprime le fait que la première règle du généalogiste est d'interroger les personnes agées.
toponymie : Science recherchant l'origine des noms de lieux (ou toponyme)
transcription :
trisaïeux arrière-grands-parents
utérin se dit d'enfants nés de la même mère et de pères différents. Ex: frère utérin. Voir germain et consanguin
Villers-Cotterêts : voir 1539
1, 2
1539 : année de l'ordonnance de Villers-Cotterêts. Obligation est faite aux curés du Royaume de tenir un registre des baptêmes, mariages et sépultures.
ab intestat : voir intestat
Abboville (numérotation d'Abboville) : système de numérotation utilisé pour une généalogie descendante. (autres méthodes Pélissier, Dujardin, Tabuteau, Ponroy, Demonferrand, Dupaquier...). Principe : l'ancêtre de départ porte le numéro 1, son aîné le N° 1.1, son cadet 1.2 etc. Le premier enfant de l'ainée est le 1.1.1 et le premier du cadet le 1.2.1 etc.
acte : écrit rédigé par un officier commis à cet effet par l'autorité juridique compétente pour constater un fait (événement, convention)
acte notarié : acte rédigé par un notaire pour constater officiellement une convention intervenue entre des particuliers
acte sous seing privé : acte rédigé pour constater une convention intervenue entre des particuliers et signé par les parties et leurs témoins sans l'intervention d'un notaire
adoption : acte juridique établissant entre deux personnes (l'adoptant et l'adopté) des relations de droit analogues à celles qui résultent de la filiation biologique
adultérin (enfant): né d'un rapport extra-conjugal, d'un adultère. L'expression a disparu du Code Civil et est remplacée par "enfant naturel".
affin : apparenté par alliance
âge : temps écoulé entre la naissance d'une personne et un moment quelconque de sa vie. L'âge calculé est déterminé par la différence entre la date de la mention et la date de naissance. L'âge déclaré est l'âge affirmé par le probant ou par un témoin et formulé au moins en années, sinon en mois et en jours. L'âge présumé est l'intervalle de naissance déduit d'une déclaration de majorité ou de minorité ou de la nature de l'événement rapporté par le document
agnat : descendant(e) par ligne masculine, en pratique, les agnats portent tous le patronyme de l'ancêtre commun
agnatique : synonyme de patronymique. La ligne agnatique regroupe tous les pères et fils porteurs du même nom, le nom patronymique. Voir aussi cognatique.
aïeul/Aïeule : grand-père/grand-mère (pl : aïeuls/aïeules). Bisaïeul, trisaïeul. Et encore moins utilisé : quadriaïeul (On dit plus communément quatrième aïeul ou quartaïeul (Littré)), quintaïeul sextaïeul septaïeul octaïeul
aïeux : ensemble des ancêtres (ne s'emploie qu'au pluriel)
aîné : le premier enfant né d'un couple. Dans le cas de jumeaux, la coutume reconnaît pour ainé l'enfant né en second.
alliance : lien de parenté existant entre l'époux ou l'épouse et les apparentés consanguins de son conjoint
ancêtre : personne dont est issu quelqu'un
annotation marginale : inscription, en marge de l'acte de baptême, de la date et de l'endroit de la au baptême confirmation, du mariage, du sous-diaconat ou de la profession religieuse du baptisé
anthroponymie : Partie de l'onomastique qui étudie les noms de personnes
apparenté : qui est parent par alliance, par mariage.
arbre généalogique : représentation graphique d'une généalogie.
archives : nom féminin pluriel, ensemble des documents, quels que soient leur date, leur forme et leur support matériel, produits ou reçus par toute personne physique ou morale, et par tout service ou organisme public ou privé, dans l'exercice de leur activité. Il existe des Archives communales (AC), Archives Départementales (AD), Archives diocésaines, Archives hospitalières, Archives nationales (AN), Archives notariales, Service Historique de l'Armée de Terre (SHAT), etc ...
armoiries : ensembles symboliques autrefois figures sur les boucliers ou écus pour distinguer les personnes, les familles, les communautés, etc.
ascendance : ensemble des personnes dont est issu quelqu'un
auteur : en généalogie ce terme désigne l'ancêtre commun à plusieurs branches.
bailliage : juridiction d'un bailly, fonctionnaire royal sous l'ancien régime.
ban : proclamation. Annonces pendant trois dimanches successifs (et affichage) de la célébration d'un mariage (histoire : droit royal de commander, de contraindre ou de punir).
bâtard : enfant né hors du mariage. Jadis dans les familles nobles c'était courant et généralement accepté.
beau-fils : époux de la fille ; fils issu d'un autre mariage de l'époux ou de l'épouse
beau-frère : époux de la sœur, ou frère du conjoint, ou époux de la sœur du conjoint
beau-père : autre époux de la mère; père de l'époux ou de l'épouse
belle-fille : épouse du fils; fille issue d'un autre mariage de l'époux ou de l'épouse
belle-mère : autre épouse du père ; mère de l'époux ou de l'épouse
belle-sœur : épouse du frère, ou sœur du conjoint, ou épouse du frère du conjoint
benjamin : dernier né des enfants.
bigamie : état d'un homme uni à deux femmes en même temps ou d'une femme unie à deux hommes en même temps
bisaïeul/bisaïeule : Père, mère des aïeuls c'est-à-dire arrière-grand-père et arrière-grand-mère. Bisaïeux : arrière-grands-parents.
blason : ensemble des signes et emblèmes qui composent l'écu d'une famille
BMS : acronyme de [actes] de Baptême, Mariage religieux et Sépulture. Concerne les registres paroissiaux tenus par les curés sous l'Ancien régime. A la révolution les BMS furent remplacés les NMD *
branche Fragment d'une filiation générale issue d'une même souche. Il y a autant de branches dans une famille qu'il y a de personnes ayant une postérité mâle.
bru : épouse du fils
brassier : paysan qui n'avait, pour travailler ses terres, que la force de ses bras. (le laboureur disposait d'un attelage). Il ne possède pratiquement pas de terre et loue ses services auprès de plus riches que lui.
ca : voir circa
cadastre : registre public contenant la liste détaillée des propriétés et de leurs propriétaires en vue de leur imposition. Date de Napoléon 1er dans sa conception moderne. Archives départementales série P.
cadet : Le deuxième enfant d'un couple. Se dit aussi de chacun des enfants nés après l'aîné.
cadette (branche) : quand le cadet meurt sans postérité, même à un age avancé, on appelle cadette, la branche issue de son frère puiné * le plus proche.
calculs de degré de parenté : voir degré.
calendrier : système de division du temps
cartulaire : recueil de chartes, contient la transcription des archives d'un établissement religieux, voir d'une ville ou d'une famille, confectionné afin d'éviter de manipuler les originaux.
célibataire : état matrimonial d'une personne qui n'a jamais été mariée
charte : Il s'agit d'un acte concédant des franchises, des privilèges, des titres de propriété ou de vente. Pour les familles, les chartes permettent d'apporter la preuve de leurs privilèges et droits sur un bien ou un titre. Archives départementales, séries E, F et J.
chartrier : recueil de chartres et aussi désigne le lieu où l'on conservait les chartes du royaume ou d'une abbaye.
circa : mot latin signifiant 'aux environs de'. Utilisé couramment en anglais. [abréviation courante "ca"]
cognat : descendant par ligne féminine.
D'après le Traité de Généalogie de René JETTE : "Cognat : Descendant d'une même souche en ligne autre que masculine" "Cognation : Parenté par les femmes ; parenté par consanguinité, par les hommes ou par les femmes ""Ascendance cognatique : Ascendance unilinéaire où alternent les ascendants masculins et féminins. Elle relie un "probant" à un ascendant choisi à l'avance."
D'après le GDEL : "Cognat : Lien par les femmes""Cognatique : Mode de filiation non unilinéaire par les hommes ou par les femmes"
D'après le Robert : "Cognat : Parent par les femmes" "Cognation : Parenté naturelle sans distinction de ligne paternelle ou maternelle."
cognatique : se dit d'une généalogie descendante ne comportant pas les individus appartenant à la descendance agnatique.
collatéral / collatéraux : descendant d'un ancêtre commun , mais par une autre branche (ex : frère, oncle, nièce, cousin...).
commère : marraine.
compère : parrain.
compoix : ancêtre du cadastre.
comté : ancien découpage du territoire du Québec à des fins électorales et censitaires
consanguin Qui est parent par le père et par extension les personnes ayant un ascendant commun. Voir utérin
contrat de mariage : convention par laquelle les futurs époux déterminent leur régime matrimonial
copie intégrale d'un acte : doit indiquer toutes les mentions figurant dans l'acte original, y compris nom et adresse du notaire en cas de contrat (sur un acte de mariage), et mentions marginales.
cote : code alphanumérique d'identification d'un document archivé
cousins germains : enfants de deux frères ou sœurs.
cousin issu de germains : Personne ayant un arrière-grand-père commun ou une arrière-grand-mère. Appelés aussi "petits cousins" ou "sous-germains".
critique des sources : ensemble des règles de procédure permettant de déterminer l'admissibilité d'une source au statut de document
cujus : voir de cujus
curateur : personne, en principe de la famille, chargée de la protection des intérêts matériels d'un mineur orphelin, ou nommé en cas d'absence du père ou de succession vacante.
date Ca. : aux environs de ... . Indique une date approximative. "Ca" abréviation de circa
de cujus : désigne l'individu dont on recherche les ancêtres. Synonyme de "probant". Premiers mots de la locution juridique latine " de cujus successione agitur ", celui ou celle dont la succession est en cause, en généalogie, celui ou celle à partir du ou de laquelle on commence la recherche
degré : synonyme de génération en droit civil. Différence de génération qui sépare des parents consanguins ou par alliance. On dit cousin au 2ème et 3ème degré par exemple. il y a deux sortes de degrés civils et canoniques.
délais de communication : voir Loi des 100 ans
dénombrement : recensement
dépôt : lieu d'archivage. Archives déposées.
dépouillement : analyse de tous les registres paroissiaux et les actes d'état civil afin de les transcrire pour facilité les recherches à d'autres généalogistes.
descendance agnatique : descendance rassemblant tous les descendants issus du probant par les mâles. Descendance utérine : descendance rassemblant tous les descendants issus du probant par les femmes. Descendance utile : descendance n'énumérant que les descendants ayant laissé une postérité
devise : phrase inscrite dans les armoiries. Exprime un idéal, un but, une règle de conduite
dispense de bans: voir ban
dispense de consanguinité : accord donné par un évêque pour un mariage entre cousins. En droit canon, on compte le nombre de degrés qui séparent de l'ancêtre commun. Une dispense du 4e degré veut dire que les époux avaient des arrières-arrières grands-parents communs. On trouve également des dispenses du 3e au 2e degré ou du 4e au 3e degré. Les dispenses du deuxième degré étaient accordées par le Pape, les autres par les évêques.
dispense de parenté au mariage : levée de l'empêchement de parenté par autorisation spéciale de l'autorité compétente
dixièmes :impôt royal crééen 1710
domicile : lieu ordinaire d'habitation d'une personne
donation entre vifs : contrat par lequel une personne se dépouille irrévocablement d'une chose (le donateur) en faveur d'une autre qui l'accepte (le donataire)
Edit d'Henri Deux édit datant de 1556 obligeant les mères célibataires et les veuves à déclarer leur grossesse, ces déclarations forment les cahiers de grossesse, conservés aux Archives départementales en série B
empêchement de parenté au mariage : interdiction du mariage en raison d'une parenté entre les conjoints éventuels jugée trop proche pu la loi
enfant naturel : né de personnes non mariées (et dont souvent la mère seule est connue)
enfant légitime : se dit d'un enfant né de parents unis par les liens du mariage (on dit aussi légitime et naturel).
enfant reconnu : un des parents reconnaît être l'auteur (ou enfant reconnu par le père et parfois par la mère, quand il est naturel ou adultérin)
enfant légitimé : le mariage valide la paternité voire la maternité. C'est un enfant illégitime (en général né de père "non dénommé", c'est le nom officiel pour père inconnu) qui, lors du mariage de l'un de ses deux parents (en général sa mère), est reconnu comme légitime par l'autre (en général le mari).
Si la mention marginale indique simplement : "légitimé par le mariage de ses parents..." cela prouve qu'il a été reconnu par ses deux parents avant ou au moment de la célébration du mariage. (Dans ce cas la légitimation est automatique; l'officier d'état civil qui célèbre le mariage constate la ou les reconnaissance (si elles n'avaient pas été déja faites) et la filiation. Si l'enfant légitimé n'est pas né dans la commune du mariage, des documents sont transmis à la commune de naissance pour inscription de la mention marginale. Le livret de famille n'est pas remis immédiatement aux époux mais transmis lui aussi à la mairie de naissance seule habilité à y faire figurer l'enfant. S'il n'a été reconnu qu'après le mariage, il ne peut être légitimé que par jugement et les références du jugement seront portées en mention marginales sur l'acte de naissance. Il faut s'adresser au procureur de la République, pour introduire une procédure auprès du tribunal de grande instance.Contrairement aux idées reçues, un enfant peut être légitimé sans qu'il y ait mariage (du moins à notre époque). Si le mariage des parents est impossible (père inconnu, parent décédé ou déjà marié), la légitimation peut avoir lieu par jugement du tribunal de grande instance du domicile du parent qui a élevé l'enfant. L'enfant majeur légitimé ne prend le nom du père que s'il y consent.Code civil : Art. 311-16 , Art. 329 s et 333 s
Cela peut être une reconnaissance convenue, de complaisance en accord avec la mère pour offrir un état civil complet à cet enfant naturel sans père dénommé. Mais il peut aussi s'agir du père biologique son enfant étant né avant mariage. Les deux cas se rencontrent. Parfois on peut affiner les présomptions légitimes avec quelques indices par exemple cohabitation des parents naturels avant ou à partir de la conception de l'enfant. Autre cas particulier : un enfant légitimé par mariage à l'âge de dix ans. En principe on pense tout de suite, reconnaissance de "complaisance". Il s'agit d'un couple de petits voisins d'enfance qui à l'âge de Roméo et Juliette ont "fauté". La petite fille est confiée à une institution religieuse, mais pas abandonnée, la jeune mère doit travailler. Le jeune lui apprend un métier et il est dans la période où le service militaire s'étale pendant des périodes sur 7 ans. Ils finiront par se marier trois mois après son congé de libération de l'armée.
En conclusion, en ce qui concerne ces enfants, si on veut en savoir plus et si c'est possible, il faudrait rechercher des indices et faire des recoupements.
enfant trouvé : sans filiation connue et trouvé. Enfant dont on ne sait rien qui a été trouvé, soit dans une église ou un "tour" de couvent ou n'importe où (généralement enfant abandonné)
enfant adultérin : voir aldutérin
enfant mort-né : mort à la naissance ou avant la naissance, pas toujours déclaré (sous l'ancien régime), on déclare rarement si c'est un garçon ou une fille et bien entendu n'a pas de prénom.
endogamie : situation où les mariages se font exclusivement ou surtout entre les membres d'un même groupe (familial, social, ethnique, ...)
épitaphier : recueil des épitaphes ou des relevés funéraires.
état civil : ensemble des actes de naissance, mariage et décès (N.M.D.) depuis 1792, date à laquelle cette tâche fut laïcisée (mais aussi : condition d'une personne dans la société civile).
étymologie : étude de l'origine et de la filiation des mots, fondée sur des lois phonétiques et sémantiques, et tenant compte de l'environnement historique, géographique et social.
événement d'état civil : événement qui est à l'origine de l'état civil d'une personne: la naissance, le mariage, le décès, l'adoption, le divorce, ...
exogamie : situation où les mariages se font exclusivement ou surtout avec des personnes extérieures au groupe d'appartenance
extrait d'acte : reproduction textuelle et partielle d'une source
1, 2
I. N Lévesque, père de :
Anne Lévesque, née vers 1630 et inhumée à Brasles le 23 mai 1713 ;
Jacques Lévesques, qui suit.
II. Jacques Lévesque, né vers 1637, laboureur, épouse à Brasles le 26 novembre 1669 Madeleine Gaullier, née entre 1638 et 1646, et inhumée dans le cimetière de Brasles le 29 décembre 1729, fille de feu Jacques Gaullier, vigneron tonnelier, et de Charlotte Billion, dont :
Nicolas Lévesque, qui suit ;
Et peut-être : André-Louis Lévesque, qui suivra en IIbis.
III. Nicolas Lévesque, vigneron, épouse à Brasles le 8 janvier 1703 Marguerite Gaullier, née vers 1682 et inhumée dans le cimetière de Brasles le 13 juillet 1718, fille de Nicolas Gaullier, inhumé dans le cimetière de Brasles le 31 mars 1705, et de Marguerite Gaillard, et en secondes noces à Brasles le 2 mai 1719 Marguerite Sonnette, née vers 1693, fille de feu Nicolas Sonnette, et de Marie Brisevin, dont du premier lit :
Françoise Lévesque, née vers 1707 et inhumée dans le cimetière de Brasles le 1er juillet 1717 ;
Marguerite Lévesque, épouse à Brasles le 8 janvier 1726 Pierre Boilleau, fils de Pierre Boilleau et de feu Anne Chevallier, dont postérité ;
Marie-Anne Lévesque, épouse à Brasles le 11 janvier 1734 Jacques Guiard, fils de Nicolas Guiard et de Marie Bahin, dont postérité ;
Et du second : Quentin Lévesque, baptisé à Brasles le 23 mars 1727.
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IIIbis. André-Louis Lévesque, né vers 1679 et décédé en la paroisse Saint-Crépin de Château-Thierry le 27 mai 1727, maître puis directeur des Postes au bureau de Chaury (Château-Thierry), greffier de la justice de Brasles, épouse Anne-Louise Olivier*, dont :
Nicolas-Louis Lévesque, qui suit ;
Jean-Augustin Lévesque, baptisé à Brasles le 21 octobre 1721 ;
André-Nicolas Lévesque, né en la paroisse Saint-Crépin de Château-Thierry le 9 janvier 1724 et décédé à Brasles le 24 février suivant;
Marie-Marguerite Lévesque, née en la paroisse Saint-Crépin de Château-Thierry le 9 janvier 1724 ;
Gabrielle-Hyppolite Lévesque, baptisée à Brasles le 5 août 1726 et inhumée le 9 octobre suivant.
*Anne-Louise Olivier épousera en secondes noces à Brasles le 13 septembre 1728 Louis Retaux.
IV. Nicolas-Louis Lévesque, né à Brasles le 12 avril 1719 et baptisé le lendemain, décédé à Ploeuc le 21 mars 1796, receveur des Devoirs au département de Saint-Brieuc, maire de Ploeuc, épouse à Ploeuc le 29 mai 1749 Jeanne-Marie Barre, née et baptisée à Ploeuc le 6 juillet 1714, fille de feu Cyprien Barre, né et baptisé à Ploeuc le 23 mars 1680, et de Jeanne-Thérèse Hervé, dont :
Yves-Louis Lévesque, né à Ploeuc le 18 septembre 1752 et baptisé le 20 ;
Nicolas-Louis Lévesque, né à Ploeuc le 17 septembre 1754.
I. Pierre André épouse Catherine Tardivel, dont :
II. Pierre André, né à Ploeuc le 27 novembre 1687, épouse à Ploeuc le 28 mai 1721 Théodore-Catherine Hello, née à Ploeuc le 11 octobre 1703, fille de Noël Hello et de Françoise Denys, dont :
III. Noël André, né à Ploeuc le 28 juin 1723 et décédé au Madray-Grasso en Ploeuc le 22 janvier 1795, épouse à Ploeuc le 18 janvier 1744 Jeanne Turmel, fille de Pierre Turmel et de Marie Hervé, dont :
IV. Jacques-François André, né à Ploeuc le 21 juin 1751, épouse à Ploeuc le 16 janvier 1783 Isabelle-Marie Cadin, née à Ploeuc le 17 octobre 1757, fille de feu Louis Cadin et de feu Véronique Royand, dont :
V. Louis-François André, né à Ploeuc le 25 octobre 1796 et y décède le 5 décembre 1831, épouse Jeanne Moisan.
Ecole Sainte-Anne de Ploeuc
43, rue de La Gare
22150 Ploeuc-sur-Lié
02.96.42.10.26
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