tire probablement son nom de l'antique Maison le Moënne, qui furent seigneurs de ce lieu, ainsi que de La Ville-Rouault et de Saint-Eloy (le Moënne, seigneurs de Saint-Eloy, de La Touche-aux-Moines et de La Ville-Rouault, XVème & XVIème).
Elle est repésentée par Alain et Charles lors des montres de 1469 et 1479, Jacques, seigneur de La Ville-Rouault et de La Touche-aux-Moines lors de la Réformation du 4 mars 1536.
La Touche-aux-Moines possédait un droit de haute, moyenne et basse justice, ainsi qu'une chapelle.
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Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et Armorial de Bretagne, édition 1, tome I, 1846.
Moënne ou Moine (le), sieur de Saint-Eloy et de la Touche-Rouault, paroisse de Ploeuc, - du Quélennec, paroisse de Merléac, - du Caronnay, - du Bois-Riou, - du Ruffroger, de la Vieux Ville, - de la Boixière, - de cléden, paroisse de Haut-Corlay.
Ancienne extraction, réformation 1669, sept générations ; réformations et montres de 1423 à 1535, paroisse de Ploeuc, évêché de Saint-Brieuc.
De gueules à trois croissants d'argent, une fleur de lys d'or en abyme.
Alain, vivant en 1469, père d'Antoine, vivant en 1483, marié à Louise de Villeguy.
Fondu dans le Métayer.
Le sieur de la Hauteville, paroisse de Trégueux, débouté de la réformation de 1669.
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Guy le Borgne, Armorial breton, 1669.
Le Moënne, jadis à Saint-Eloy en Ploeuc à présent au Quellenec en Merléac, évêché de Cornouaille, porte de gueulle à trois croissants d'argent & une fleur de lys d'or en abîme.
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La noblesse de Bretagne devant la chambre de la réformation, 1668-1671 : arrêts de maintenue de noblesse. Tome 4 / recueillis et publiés par M. le Comte de Rosmorduc
Moënne (le), seigneurs du Quellenec, de Cléden, de Caronnay, de Bonamour, etc.