Messire Juhaël, sire de Plœuc, issu en juveigneurie de la Maison de Poher, chevalier, vivant en 1202, père de :
Messire Maingot, sire de Plœuc, chevalier, épousa peut-être une demoiselle du Plessis, dame dudit lieu en Ergué-Armel, dont :
Messire Guillaume Ier, sire de Plœuc, chevalier, épousa en 1270 Constance ou Jeanne de Léon, dame de Plouyé, fille d’Hervé, vicomte de Léon, dit Le Simple, décédé vers 1264, et de Marguerite, dont :
Dame Jehanne de Plœuc, dame dudit lieu et de Plouyé audit lieu, épousa en 1292 [à condition que les enfants qui naitraient de leur mariage prendraient les nom et armes de Plœuc] Tanguy de Kergorlay, chevalier, seigneur du Tymeur en Poullaouën, peut-être fils puîné de Pierre de Kergorlay, seigneur dudit lieu en Motreff, sénéchal de Cornoüaille, fit parti des quatre seigneurs qui portaient la chaise de l’évêque, et de Thomasse de Lanvaux, dont postérité.
Il existe à la même époque que Juhaël un Herué Sire de Ieuc, cité en 1203 par Pierre Le BAUD dans son Histoire de Bretagne, avec les chroniques des Maisons de Vitré et de Laval, Paris, M.DC.XXXVIII.
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Plœuc (de) : d'hermines, à trois chevrons de gueules.